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Presse - Divers - 1798-1927
 


  • La patriote de la Meurthe
    10 mars 1798

Offres patriotiques. Les citoyens du canton, de Marsal offrent 41 toises � extraire et � r�parer, 22 journ�es en nature, 29 argent, 237 en num�raire. Ceux du canton de Frouard, 294 journ�es de travail, 52 journ�es de tombereaux et voitures,45 en esp�ces. Marbache et Frouard offrent de r�parer leurs anciennes portions de routes. Le canton de Bl�mont a offert, outre ce que nous avons d�j� rapport�, de r�parer, jusqu'� bien, trois atteliers qui font environ 15 cent toises de route. Les citoyens de la commune de Herb�viller, canton d'Og�viller, ont offert 16 voitures, 135 journ�es de travail pour les m�mes causes. Mention honorable au proc�s-verbal des s�ances de l'administration centrale du d�partement de la Meurthe.


  • L'Esp�rance - Courrier de Nancy
    30 mai 1875

Par suite de l'ouverture de la nouvelle gare de Deutsch-Avricourt, il sera cr��, au 1er juin prochain, pr�s d'Avricourt, au d�bouch� de la route d�partementale de Blamont � Maizi�res, un bureau auxiliaire de douane de 2e classe, relevant du bureau principal de Sarrebourg, et servant de bureau de d�claration pour le bureau auxiliaire de 1re classe, qui sera transf�r� � la nouvelle d'Avricourt.
A partir du m�me jour, la route de Blamont � Maizi�res, depuis la fronti�re jusqu'� l'endroit o� s'en d�tache la route qui conduit � la gare de Deutsch-Avricourt, ainsi que cette derni�re route jusqu'au bureau auxiliaire de 1re classe �tabli dans ladite gare, seront consid�r�es comme routes douani�res.


  • Gazette de Lorraine
    30 ao�t 1878

Les pluies fr�quentes et abondantes des derniers jours ont amen� une crue assez consid�rable de
nos cours d'eau. La Moselle coule � pleins bords du c�t� d'Ars et de Nov�ant ; la m�me chose est
annonc�e de Thionville. Dimanche dernier, nous avons aussi vu � Nancy la Meurthe fortement
grossie, et les nouvelles des Vosges mandent �galement que diverses rivi�res ont d�bord� ; la Vezouze, entre autres, a envahi le chemin de fer entre Blamont et Cirey.


  • Gazette de Lorraine
    12 juillet 1886

Le journalier Brouillard, originaire de Saint-Quirin, vient d'�tre incarc�r� � Lun�ville, en vertu d'un jugement qui l'a condamn� � 116 fr. 98 c. d'amende, pour contrebande d'allumettes chimiques. C'est la gendarmerie de Bl�mont qui a proc�d� � son arrestation.


  • Le Vosgien
    30 novembre 1889

N�crologie
On lit dans l'Esp�rance :
Nous avons le regret d'annoncer la mort, � l'�ge de 81 ans, de Mgr Joseph R�gnier, pr�lat romain, chanoine honoraire de Nancy, de Reims et de Saint Di�, pieusement d�c�d�, lundi matin, muni des sacrements de la Sainte-Eglise.
N� � Langres, en 1808, �lev� � Dijon, condisciple, pour la philosophie, au S�minaire d'Issy, de M. l'abb� Lacordaire, dont il partageait la cellule et dont il est rest� l'ami intime, M. R�gnier, ses �tudes de droit achev�es, passa quelques ann�es � Nancy, o� son p�re, ancien directeur des contributions directes, s'�tait retir�, et o� son beau-fr�re, M. Maffioli, �tait juge au tribunal.
Puis il fut nomm� juge de paix � Bl�mont, mais, apr�s quelques ann�es, il se sentit appel� � l'�tat eccl�siastique, fit ses �tudes th�ologiques � Rome, et fut ordonn� pr�tre en 1858.
Il fui un pr�tre pieux, d�vou�, mais sans presque jamais exercer de minist�re � poste fixe.
Le pr�tre entretint et conserva les nombreuses et cordiales relations qu'avait nou�es le jeune avocat, notamment avec MM. de Saint-Beaussant, de Dumast, et les fondateurs de l'Esp�rance.
M. l'abb� R�gnier publia plusieurs ouvrages, l'Orgue notamment, qui est tr�s estim� ; le Ch�ur, recueil de musique religieuse ; Lacordaire, souvenirs et lettres d'amis; et Deux visites au cur� d Ars.
C'�tait un homme plein de foi, un c�ur d'or, un esprit fin et d�licat ; mais ses derni�res ann�es furent attrist�es par de cruelles infirmit�s, qu'il supporta, du reste, avec une virile et chr�tienne r�signation.


  • Le Vosgien
    23 octobre 1891

Coups de feu sur le territoire annex�
La gendarmerie de Bl�mont, agissant en vertu d'une lettre de M. le juge d'instruction de Lun�ville, a ouvert une enqu�te au sujet d'une inculpation port�e contre le sieur Joseph Marchal, �g� de 42 ans, n� � Dom�vre, demeurant � Bl�mont, couvreur, mari� � Maria Henriquel, p�re de quatre enfants, qui aurait tir� des coups de fusil sur deux douaniers allemands.
A ce sujet, les gendarmes de la brigade de Bl�mont ont entendu comme t�moin M. Laurent Jacquot, �g� de 42 ans, garde particulier de M. de Sch�ken, rentier � Pont-�-Mousson, qui a d�clar� qu'en faisant sa tourn�e dans la for�t de son patron pour la r�pression du braconnage, il avait entendu quelques coups de feu.
Supposant que c'�tait le sieur Marchal, de Bl�mont, qui se livrait � la chasse sans permis, il se dirigea du c�t� d'o� provenait ces d�tonations.
Une d�charge �tait partie de la lisi�re du bois. M. Laurent vit un individu qu'il affirme �tre Joseph Marchal � 300 m�tres environ de lui et dans les champs se dirigeant vers la for�t de Bl�mont.
Sur son parcours, Marchal avait �t� vu par deux douaniers allemands, embusqu�s, ceux-ci se mirent � sa poursuite sur le territoire annex�. Ne pouvant le rejoindre, ils tir�rent chacun un coup de fusil lorsqu'ils turent � 80 m�tres environ de Marchal ; mais aucun projectile n'atteignit le fuyard.
Marchal, ayant gagn� la for�t � son tour, tira sur les deux douaniers, lesquels �taient a 100 m�tres environ de la fronti�re et sur le territoire annex�, mais pans les toucher.
L'un des douaniers, nomm� Zoinzuch, demeure au Raplin et l'autre r�side � Attigny.
L'enqu�te continue. L'arrestation de Marchal a �t� op�r�e par la gendarmerie de Bl�mont, et il a �t� �crou� � la maison d'arr�t de cette ville.
Une perquisition faite au domicile de cet individu � amen� la d�couverte d'un fusil, de plombs et de poudre de chasse qui ont �t� saisis pour servir de pi�ces � conviction, ainsi que six lacets et un filet, engins de chasse prohib�s, et 600 allumettes chimiques de provenance �trang�re.


  • Le Vosgien
    28 octobre 1891

L'affaire de Bl�mont
On annonce que Joseph Marchal, de Bl�mont, d�tenu � Lun�ville, pour violences volontaires contre des douaniers allemands, � la suite de l'incident de fronti�re survenu le 3 octobre, pr�s de la Haie-des-Allemands, est poursuivi en Alsace-Lorraine pour le d�lit de chasse qui a amen� l'incident.
M. Jacquot, de la Haie, vient de compara�tre volontairement devant le juge d'instruction de
Lun�ville.
Il aurait vu l'un des douaniers allemands tirer sur Marchal et celui-ci se sauver en territoire fran�ais dans la for�t de Bl�mont.
A l'endroit o� Marchal venait d'entrer sous les arbres, une forte d�tonation retentit. M. Jacquet a vu de la fum�e. Ce qui fait supposer � tort ou � raison que Marchal avait tir� sur le douanier.
La justice informe et �claircira ce fait.
Marchal est �galement poursuivi en France pour d�tention d'allumettes de fraude et de poudre �trang�re et pour d�lit de chasse.


  • Le Vosgien
    4 novembre 1904

M. Rouvier, ministre des Finances, vient de d�poser sur le bureau de la Chambre un projet de loi ayant pour objet le rachat des majorats et des dotations cr��s par l'empereur Napol�on Ier, et qui, depuis pr�s d'un si�cle, gr�vent le budget de l'Etat. Ces majorats se sont transmis, dans les familles, d'a�n� � a�n�.
Le revenu annuel des majorats et dotations s'�l�ve aujourd'hui � 1,055,581 fr. Le gouvernement, d'accord avec la majorit� des b�n�ficiaires actuels, propose au Parlement une combinaison de rachat � un taux tr�s r�duit qui r�alise une �conomie annuelle de plus de 400,000 fr.
Parmi les titulaires actuels de ces pensions de majorats, on remarque plusieurs descendants d'illustrations militaires lorraines, notamment: MM. de M�neval (h�ritier du secr�taire de Napol�on 1er ) qui touche une pension annuelle de 13,658 fr. ; Ney, prince de la Moskowa, 25,000 fr, ; son fils, Ney, duc d'Elchingen. 41,625 fr. ; Oudinot, duc de Reggio, 14,734 fr. ; Perrin, duc de Bellune (arri�re-petit-fils du mar�chal Victor) 15,182 fr. ; enfin, R�gnier, duc de Massa-Carrare (petit-fils du grand juge R�gnier, de Bl�mont) 51,462 francs.
Dans le major�t du descendant de Victor Perrin de Lamarche, les Immeubles entrent en capital pour 590,000 fr. ; ils consistent en une maison sise rue Laffite, � Paris, �valu�e 550,000 fr. et une villa sise � Fontainebleau.


  • Le D�mocrate
    3 novembre 1907

Terrible accident
LUN�VILLE. Un terrible accident s'est produit pendant la nuit de lundi � mardi, sur la route nationale de Bl�mont � Herb�viller.
M. Piard, n�gociant en vins � Ch�lons-sur-Marne, que ses affaires appellent souvent dans la r�gion, avait quitt� Lun�ville vers 11 heures du soir, en automobile.
Pr�s d'Herb�viller, il se jeta sur une voiture attel�e de deux chevaux. conduite par M. Eug�ne Simonet, n�gociant � Og�viller.
La fl�che du v�hicule p�n�tra dans la poitrine du malheureux n�gociant qui fut tu� sur le coup.
Son chauffeur n'a eu aucune blessure.
La premi�re enqu�te semble �tablir que l'automobile �tait munie de lanternes, la voiture de M. Simonet, au contraire, n'en poss�dait pas.
M. Piard qui, comme nous l'avons dit, parcours fr�quemment la r�gion de Lun�ville, a eu d�j� deux accidents d'automobile, � notre connaissance.
Il y a trois mois, sa voiture p�n�trait dans la devanture d'un magasin de Lun�ville ; quelques jours apr�s, l'automobile prenait feu aux environs du fort de Manonviller.


  • Colmarer neueste Nachrichten
    2 f�vrier 1927

Messerstecherei mit t�dlichem Ausgang.
A LA FRIMBOLLE. - Zwei Korbmacher, der 18j�hrige Ott in Cirey wohnhaft, und der �ltere Fr�d�ric Buck, im Orte selbst ans�ssig, sassen in der Wirtschaft Benu und zechten gem�tlich. Pl�tzlich brach zwischen ihnen ein Wortwechsel aus, der bald in T�tlichkeiten ausartete; schliesslich zogen beide Gegner das Messer und stachen gegeneinander drauf los. Doch der �ltere Buck war der st�rkere und versetzte seinem Gegner drei heftige Messerstiche in den Hals, die die Schlagader durchschniten. Ott fiel blut�berstromt nieder und wurde sofort in das Spital von Blamont verbracht, wo er kurze Zeit nach seiner Einlueferung starb. Der T�ter, welcher von mehreren Personen festgenommen wurde, konnte nachher entweichen. Die sofort benachrichtigte Gendarmerie von Lorquin nahm sofort seine Verfolgung auf dieselbe war nicht leicht da sich der Messerheld in die W�lder ben�chtet hatte. Er wurde aber von den Gendarmen im Walde in der N�he von T�rkestein festgenommen und nach Saverne ins Gef�ngnis gebracht.

 

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