| BLAMONT.INFO |
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[p. 170] Les autorit�s locales [...] dressaient la liste de leurs �migr�s et commen�aient � disperser leurs meubles aux ench�res. En novembre ou en d�cembre 1792, le District de V�zelise annon�ait un total de 24 noms ; celui de Toul, de 52 ; celui de Lun�ville, de 34 ; celui de Bl�mont, de 32. [p. 173] [Sur la question, en 1792, des princes �trangers possessionn�s en France] en attendant la r�ponse des Comit�s -qui fut d'ailleurs prompte et affirmative- toutes poursuites devaient cesser contre eux. L'Administration d�partementale pria, en cons�quence, les Districts d'arr�ter celles qu'ils avaient d�j� entam�es, tout en laissant subsister le s�questre l� o� il �tait d�j� �tabli (*). (*) Ainsi le district de Bl�mont du abandonner toutes poursuites contre MM. D'Helmstatt, de Hunolstein et contre le prieur de Nassau-Weilbourg. [p. 182] La question religieuse. Un Delorme, cur� de Gondrexange, qui, apr�s avoir eu longtemps une conduite irr�prochable, se r�pand subitement en propos �� incendiaires et injurieux � contre son pays et s'attire les foudres du Directoire de Bl�mont, ne semble pas [...] faire preuve d'un �quilibre parfait. [p. 199] La mission de Ruhl, Couturier et Dentzel, le 6 janvier 1793. De Lun�ville, les d�put�s gagn�rent Bl�mont, puis Sarrebourg. Ils ne purent s'arr�ter qu'un instant dans la premi�re de ces villes [Bl�mont]. �� Nous y avons trouv� les subsistances d�j� plus abondantes, les corps administratifs anim�s du m�me esprit [qu'� Lun�ville] ; point de ci-devant ; point de pr�tres fanatiques ; point d'�migr�s : l'air nous a paru pur, et peu sujet aux exhalaisons infectes de ces contre-r�volutionnaires �. [p. 216] La police politique. La veuve Simonin, de Bl�mont, m�re d'un �migr�, ne fut dispens�e de tout versement qu'� cause de sa grande indigence. [p. 218] Dans d'autres cas, ce furent les Districts eux-m�mes qui agirent, sans qu'il y ait eu toujours identit� dans leur action. Celui de Bl�mont fit ouvrir une enqu�te par Fromental sur la vie, la conduite et les propos de l'abb� Gley, cur� d'Herb�viller, dont l'attitude exc�dait les officiers municipaux [14 janvier 1793]. [p. 227] Bien que les congr�gations s�culi�res et les confr�ries eussent �t� supprim�es, des hommes et des femmes se rassemblaient encore dans plusieurs paroisses de campagne pour se livrer � des exercices religieux ; les cur�s constitutionnels les prot�geaient et les municipalit�s fermaient les yeux : le Directoire d�partemental rappela celles-ci � l'ex�cution ponctuelle de la loi. Une association de pi�t�, qui existait de longue date � Bl�mont, ne fut pas autoris�e � tenir plus longtemps ses r�unions. [p. 250] [En janvier 1793] Les chefs-lieux de districts n'�taient gu�re mieux partag�s que celui du d�partement. Bl�mont et Lun�ville se plaignaient de la chert� des vivres ; Pont-�-Mousson, de la difficult� de se procurer des grains ; V�zelise, de l'accaparement de l'orge par les brasseurs � �� un prix exorbitant �. [p.266] [La lev�e en masse de 300.000 hommes en mars 1793] Le d�part de pr�s de 3000 hommes [r�quisitionn�s pour le d�partement de la Meurthe] enlevait aux campagnes un nouveau tribut de citoyens jeunes et vigoureux [...] Il entra�nait, d'autre part, la r�quisition des fusils de guerre, presque tous entre les mains de gardes nationaux : le District de Bl�mont prit ceux des gardes nationales de Bl�mont et de Badonviller et obligea les particuliers � c�der ceux qu'ils poss�daient : il n'en resta que six pour tout le district, qu'on r�serva au corps de garde de son chef-lieu. [p. 267] District de Bl�mont Population : 25.550 Contingent demand� : 266 Hommes rendus � Metz : 266 [p. 269] Dans les premiers jours d'avril [1793], avec la retraite de Custine sur Landau [...], avec l'avance de Hohenlohe-Ingelfingen dans les Deux-Ponts, le danger d'une invasion des d�partements alsaciens et lorrains �tait r�apparu comme imminent : inquiet tout � la fois de l'inach�vement de la lev�e des 300.000 hommes et de l'impr�paration militaire de ces recrues, le Directoire d�partemental avait alors mis en �tat de r�quisition permanente d'abord les gardes-nationaux des districts de Ch�teau-Salins, Dieuze, Sarrebourg et Bl�mont (8 avril), puis, bient�t apr�s (10 avril), ceux des cinq autres districts. En outre, le 11 avril, inform� par le g�n�ral d'Aboville, commandant l'arm�e de la Moselle, des �� dangers pressants des arm�es �, le Directoire avait d�cid� de reprendre, pour les districts de Dieuze et de Ch�teau-Salins, le plan d�fensif �chafaud� en octobre 1792 contre l'invasion prussienne. Sur la r�quisition du commandant en chef de l'Arm�e de la Moselle, il avait aussi rassembl� 800 gardes nationaux s�dentaires des districts de Sarrebourg et de Bl�mont pour les faire travailler � un retranchement pr�s de Bitche. [p. 283] En v�rit�, on n'avait attendu ni leur visite [des repr�sentants Anthoine et Levasseur] ni la loi du 21 mars [1793], pour ressentir le besoin d'organiser, dans quelques villes de la Meurthe, de v�ritables Comit�s de surveillance [pour recevoir les d�nonciations des particuliers] A l'instigation des deux repr�sentants et sur une invitation du procureur-g�n�ral-syndic accompagn�e de l'arr�t� du 2 avril, d'autres Comit�s -de 6, 7, 9 ou 13 membres- se form�rent dans les villes et bourgades de la Meurthe [...] D�s le 8 avril [1793], Sarrebourg eut donc son Comit� [...] Phalsbourg et V�zelise s'en donn�rent un le 11 ; Toul et Dieuze, le 12 ; Lun�ville, le 13 ; Bl�mont et Marsal, le 14 [...] (*) (*) [Composition du comit� de surveillance de] Bl�mont : 2 repr�sentants du District (dont le procureur-syndic Fromental), 2 de la municipalit� (dont le maire Vaultrin), 2 du corps judiciaire (dont le pr�sident du Tribunal Laplante), 2 membres prix dans la �� classe populaire � et un juge de paix. [p. 286] Le district de Bl�mont ne renfermait aucun club : tout au plus, quelques citoyens, souscripteurs du journal de Carra, les Annales Patriotiques et Litt�raires de la France, se r�unissaient-ils pour le lire sous l'oeil bienveillant de l'Administration, elle-m�me abonn�e. [p. 291] Les comit�s [de surveillance] de Marsal, de Lun�ville, de V�zelise et de Bl�mont s'attachaient plus particuli�rement au contr�le des correspondances. [p. 295] Des mandats d'arr�t furent lanc�s contre [...] David Braun, n�gociant de F�n�trange, et Louis Laugier, de Bl�mont, pour envoi de lettres et de fonds � des �migr�s (*). (*) Le 13 avril 1793, des membres du comit� de surveillance de Sarrebourg, en v�rifiant les courriers postaux, trouv�rent une lettre adress�e par David Braun, marchand de bestiaux � F�n�trange, � Baumann, p�re et fils, banquiers � Francfort-sur-le-Main. Cette missive contenant une lettre de change de 228 livres et 2 autres lettres, non sign�es, destin�es � l'�migr� fran�ais d'Ollonne, r�fugi� � Carlshaven (Pays de Hesse). La lettre d'envoi sp�cifiait que les 228 livres devaient aussi lui �tre remises. Une enqu�te rapide r�v�la que Braun avait envoy� cet argent, par l'interm�diaire de ses banquiers, non pour son propre compte, mais pour celui d'un ancien baron, presque septuag�naire, Louis Laugier, domicili� � Bellecourt, commune de Remoncourt. Braun assurait �tre de bonne foi et ignorer la destination v�ritable de l'argent. Laugier niait, non la paternit� des lettres, mais toute intention de venir en aide � un �migr� ; malheureusement, ses d�n�gations furent ruin�es par d'autres preuves irr�futables. Laugier et Braun furent incarc�r�es � Sarrebourg (ADM, L 2152 et Proced. du Trib. Criminel de la Meurthe). [p. 306] [Les gendarmes] de Bl�mont et leur lieutenant Fran�ois-Florimond Marchis re�oivent des f�licitations particuli�res pour une activit� qui s'exerce nuit et jour : � partir du 24 avril [1793], Marchis est m�me admis � toutes les s�ances du comit� de surveillance de Bl�mont. [p. 311] [Les comit�s de surveillance] de Dieuze et de Bl�mont traquaient aussi, avec un certain acharnement, hommes et femmes en relations �pistolaires avec des �migr�s ou des d�port�s. [Celui de Bl�mont] guettait des rassemblements peu orthodoxes au Val-de-Bon-Moutier [Val-et-Ch�tillon] ; il n'�pargnait pas les particuliers qui refusaient, de leurs d�biteurs, des paiements en assignats ou qui acceptaient certaines denr�es alimentaires ; mais, comme les prisons de la petite ville �taient en mauvais �tat et risquaient de devenir meurtri�res pour la sant� de leurs h�tes, il assignait pour s�jour � ceux-ci le couvent des ex-religieuses, non sans prendre d'�l�mentaires pr�cautions tant pour pr�venir une �vasion possible que pour emp�cher les communications avec le dehors. [p. 316] La lecture des proc�s-verbaux des corps administratifs permet d'acqu�rir une id�e pr�cise de la nature et de la valeur des inculpations retenues, en mai [1793], contre des dizaines de suspects mis sur la sellette. La plus grave r�side toujours dans les relations avec les �migr�s ou les d�port�s. Malgr� leurs explications embarrass�es, deux femmes de Hablainville, Margueritte Poutot et sa m�re, sont jet�es dans la prison de Bl�mont et renvoy�es devant le jury d'accusation pour avoir re�u des correspondances �� perfides � et des images contre-r�volutionnaires de Charles Bled, ancien vicaire de Jeanm�nil, ancien cur� de Savonni�res, pr�sentement d�port�. Le vieux baron Louis Laugier, accus� -comme on l'a vu- d'avoir essay� de faire passer � un �migr� un secours p�cuniaire, �tait maintenu en prison, � Sarrebourg, avec son complice pr�sum� David Braun, en attendant d'�tre amen� � Nancy et jug�. [p. 322] Soucieux de rester �� humains �, convaincus aussi que l'esprit civique �tait, dans leur district, �� parfaitement bon et au niveau des principes de la R�volution �, [les corps administratifs] de Bl�mont se limit�rent � 3 arrestations, y compris celles de 2 femmes (*). (*) Le 9 mai [1793], le District de Bl�mont annon�ait en outre, � l'appui de cette affirmation sur le civisme de ses administr�s, qu'un arbre de la Fraternit� venait d'�tre plant� � c�t� de celui de la Libert�, sur la place de la Libert� � Bl�mont, par des volontaires de la Ni�vre, avec le concours des autorit�s constitu�es et des habitants, aux cris de �� Vive la R�publique � et au milieu d'accolades g�n�rales (ADM, L 595). [p. 333] Au d�but de juin [1793], des Districts de Bl�mont, de V�zelise et de Sarrebourg se f�liciteront que le �� horde noire � des inserment�s [des pr�tres r�fractaires] ait compl�tement disparu de leur ressort (*). (*) Gouthier, ex-vicaire de Neufmaisons, pr�s de Badonviller, signal� par la municipalit� de Froville comme sujet � la d�portation, pr�tendit qu'il n'�tait pas fonctionnaire public au moment de l'�mission de la loi sur le serment. Malheureusement pour lui, on put prouver qu'il avait touch� son traitement de vicaire jusqu'au 1er f�vrier 1791 et que la loi du 26 d�cembre 1790 avait �t� publi�e dans le district de Bl�mont le 11 janvier pr�c�dent. [p. 340] [Les repr�sentants Anthoine et Levasseur] avaient [...] consenti, sur une requ�te du Conseil g�n�ral nanc�ien, � soutenir de leur appui une adresse suppliant la Convention de mettre au plus t�t un terme � la cupidit� des laboureurs et des propri�taires (*). (*) Le District de Bl�mont la d�plorait particuli�rement (ADM, L 595). [p. 344] Tout le ressentiment d'administrateurs citadins contre la cupide mauvaise volont� des campagnards s'exprimait [Le district] de Bl�mont ne constatait-il pas, [fin mai 1793], que les cultivateurs oubliaient trop les bienfaits dont les avait combl�s la R�volution ? [p. 344] A la date du 19 juin [1793], trois districts seulement avaient fourni leur recensement (*). (*) ADM, L 70. C'�taient sans doute : Bl�mont, V�zelise et Lun�ville. Voir les d�clarations des communes du Bl�montois dans : ADM, L 641. [p. 380] [En juillet 1793], Sarrebourg s'irritait que ce D�partement [de la Meurthe] n'e�t provoqu� aucune sanction contre les administrateurs des districts de V�zelise et de Bl�mont, qui persistaient dans leur attitude progirondine (*). (*) De Xermam�nil, Regneault �crivit le 29 juillet au District de Bl�mont : �� Soyez persuad�s, citoyens, que les gens �clair�s ont bien observ� le mouvement loyal et courageux qui vous a fait prendre devant la Convention Nationale la d�ffense de vos mandataires � l'administration sup�rieure, malgr� le danger de fronder l'opinion dominante... � (ADM, L 601). [p. 383] Le �� plus d�mocratique � de toutes les constitutions fran�aises -la constitution mort-n�e du 24 juin 1793- fut accept�e de la plupart des Fran�ais. Dans la Meurthe, pendant pr�s de deux semaines, les patriotes de toutes nuances avaient attendu, avec une impatience grandissante, l'arriv�e du texte constitutionnel �� qu'un cri universel -disaient les autorit�s constitu�es et la Soci�t� populaire touloises- demandait en vain depuis dix mois �, qu'avaient retard� les luttes des �� factions �, et contre lequel -proph�tisait le District de Bl�mont- �� viendront se briser toutes les opinions qui n'ont pas pour principe la libert� et l'�galit� �. [p. 385] Le Directoire du district de Bl�mont avait t�moign� de la joie tr�s vive ressentie par ses administr�s � la seule nouvelle de l'ach�vement de la Constitution, dont ils attendaient �� le bonheur g�n�ral et particulier �. [p. 388] Les assembl�es primaires d�partementales se tinrent, dans chaque canton de la R�publique, entre le 14 et le 23 juillet [1793], presque partout le 14 ou le 21. Plusieurs d'entre elles, dans la Meurthe, furent pr�sid�es par un eccl�siastique (*). (*) [Celle] de Bl�mont-campagne (par J.-B. Uriot, cur� de Fr�monville), de Leintrey (par le cur� du lieu, Nicolas Duc), de Badonviller-campagne (par C.-A.-F. de Mirbeck, cur� de Vacqueville), d'Og�viller (par Fromental, �� citoyen-cur� d'Herb�viller �) [p. 395] [Pour les ventes de Biens Nationaux] Dans quelques districts (Bl�mont, Dieuze, Pont-�-Mousson), le nombre de portions d'�tendue restreinte et de prix abordable pour les petites bourses semble pourtant avoir augment� [malgr� la complexit� de ces op�rations de division] depuis la fin de 1792. A Gondrexange, le 25 mars [1793], on mettait en vente 17 fauch�es de pr�s et 2 jours de terres arables provenant de la fabrique, - le tout estim� 4004 livres. A la pluralit� des voix, les assistants d�cid�rent de fractionner l'ensemble en 27 morceaux, qui firent le bonheur d'habitants modestes tout en rapportant davantage au Tr�sor. [...] On trouve toujours, sur les listes d'acqu�reurs, quelques membres du clerg� : [...] Fran�ois Mariotte, ex-ermite de Saint-Jean pr�s de Bl�mont (il acheta, le 14 janvier [1793], pour 3700 l[ivres], son ermitage avec ses d�pendances). [p. 401] Les Vosges, dont les districts montagneux (Saint-Di�, Rambervillers, Remiremont) n'ont jamais pu subvenir seuls � leurs propres besoins et s'adressaient d'ordinaire pour le compl�ment [en grains] � Lun�ville, Bl�mont, V�zelise, se plaignirent au ministre Garat, par l'entremise du conventionnel Julien Souhait, que leurs �� fr�res � de la Meurthe les abandonnent maintenant aux horreurs de la famine et emp�chent d'arriver jusqu'� eux le froment qu'ils ont pu acheter (*). (*) En juin [1793], la municipalit� meurthoise de Sainte-P�le avait arr�t� un convoi de bl� dont Jean-Balthazar Schont, boulanger, avait fait l'emplette dans la r�gion et qu'il conduisait � Raon-l'Etape. Le 20 juin, le Directoire du district de Bl�mont la f�licita de son z�le, l'engagea � continuer sa surveillance, mais, inform� que Raon se trouvait �� dans un d�nu�ment allarmant de bled �, il autorisa Schont � y emmener 12 r�seaux : le surplus resterait en d�p�t jusqu'au moment o� il pourrait �tre port� sur le march� public de Badonviller ; quant aux frais caus�s par l'arrestation, ils seraient mis au compte de Schont et du propri�taire du grain. [p. 412] [La police politique en juin-juillet 1793] Ce sont les comit�s de surveillance, flanqu�s des corps administratifs et judiciaires (dont les r�unions devenaient au reste de plus en plus rares) qui tenaient toujours le premier r�le dans la chasse aux suspects. Ils en dress�rent de nouvelles listes [...] Celui de Bl�mont �claircit des histoires de correspondances louches et fit arr�ter un certain Joseph Jeanclaude, pour ses manoeuvres contre les assignats et sa r�sistance au premier maximum. [p. 425] Sans doute, la religion n'�tait pas encore pers�cut�e. On persistait � l'associer, presque toujours, aux actes importants de la vie publique. En janvier 1793, le District de Bl�mont s'�tait r�joui que, malgr� les entraves port�es par quelques r�fractaires, le culte constitutionnel se fit r�guli�rement, �� avec aisance, dignit� et une belle simplicit� �. [p. 439] DISTRICTS, CANTONS ET COMMUNES DE LA MEURTHE EN 1792 District de Bl�mont (Population approximative : 26.000 hab.) 1.- Canton de Badonviller : Angomont, Badonviller et Pierre-Perc�e, Br�m�nil, Fenneviller, Montreux, Neufmaisons, Neuviller-lez-Badonviller, Pexonne, Saint-Maurice, Sainte-P�le, Vacqueville, Veney. 2.- Canton de Bl�mont : Ancerviller et Couvay, Barbas, Bl�mont, Dom�vre, Fr�monville, Gogney, Halloville, Harbouey, Repaix, Verdenal. 3.- Canton de Cirey : Bertrambois, Cirey, Hattigny, Nonhigny, Parux, Petitmont, Raon-lez-l'Eau, Saint-Sauveur, Tanconville, Val-de-Bon-Moutier. 4.- Canton de Leintrey : Amenoncourt, Autrepierre, Bl�merey, Chazelles, Gondrexon, Leintrey, Reillon, Remoncourt, Saint-Martin, V�ho, Xousse. 5.- Canton d'Og�viller : Brouville, Fr�m�nil, Hablainville, Herb�viller, Merviller, Mign�ville, Montigny, Og�viller, Pettonville, R�clonville, R�herrey, Vaxainville. 6.- Canton de R�chicourt : Avricourt, Foulcrey, Gondrexange, Ibigny, La-Haie-des-Allemands, Moussey, R�chicourt-le-Ch�teau, Richeval, Saint-Georges. |
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