« Chasseur d’images, voleur d’âmes depuis l’âge de dix ans... Avec les années, j’ai acquis la certitude que la mémoire, comme les miroirs, ne renvoie jamais une image objective. Face au miroir, chacun a une vision subjective de soi tout comme la mémoire distille des images sélectives et sublimées des jolies choses passées.
Je suis persuadée qu’au contraire, la photo apporte une vision objective quand le photographe parvient à capter l’instant magique où l’âme se dévoile derrière le masque de l’illusion. C’est à cela que j’aspire, saisir ce moment fugace juste avant que tout ne redevienne banal...

Et pour prolonger cet instant d’éternité, je continue de privilégier la photo argentique, celle qui relève d’un procédé chimique presque alchimique pour se dévoiler. »

« Dans le cadre des SISM 2024 (Semainesd’Informations sur la santé mentale), guidées cette année par le thème « En mouvement pour notre santé mentale », l’exposition Sportives à la Une met à l’honneur treize sportives et nous permet d’aborder la question du sexisme dans le sport : inégalité de salaire, hyper sexualisation des tenues des sportives, violences sexistes et sexuelles dans le sport et sexisme dans les médias sportifs. Cette exposition fait suite à un projet pédagogique mené par une équipe de journalistes accompagnée de 80 jeunes âgés de 10 à 25 ans. Elle est à destination
du grand public. »

M. Stephen Durif, le G.R.A.H.C.A, et la Société scientifique du Bourbonnais, vous proposent de venir découvrir les us et coutumes de notre «cousin» Néandertal au sein d’une exposition comprenant une série d’outils provenant d’un site de taille dont M. Durif est l’inventeur ainsi que des panneaux didactiques et des ouvrages de référence. Ayant acquis ses références et connaissances aux cours de nombreux chantiers archéologiques en France et dans le monde, M. Durif vous fera voyager dans l’univers de ce premier Bourbonnais qui mit à profit une matière première unique et rare récoltée sur place ! Présence journalière de M. Durif.

Le vernissage de l’exposition aura lieu le samedi 16 novembre à partir de 11h.

 « Les rivières, comme les canaux, sont à la fois de précieux axes de communication et des obstacles difficiles à franchir !

Pour recréer le lien entre les rives, le pont est la solution, c’est à la fois un geste technique et esthétique.

Le but de cette exposition n’est pas de proposer un inventaire des ponts du Pays d’art et d’histoire mais de monter différentes techniques de construction déployées sur le territoire.

Sur les cours d'eau du Pays d’art et d’histoire de Moulins Communauté, comme ailleurs, les hommes ont rivalisé d'ingéniosité pour construire des ponts adaptés aux rivières, aux fleuves ou aux canaux. Chaque pont est un lien, une réponse technique a une séparation géographique, conçu pour faciliter les échanges économiques et humains. Le pont connecte les rives ou parfois les vallées. C'est un point fort du paysage, issu du travail de l'Homme avec la nature et ses défis. »

Exposition proposée par l'Espace Patrimoine de Moulins Communauté.

La peinture de Marc Enjalbert est une peinture fraîche, délicate et joyeuse, débordante de créativité. Elle est le reflet positif et optimiste du monde qui nous entoure. Marc Enjalbert peint comme il respire, il expérimente, il crée à partir de thèmes qu'il a depuis toujours en lui. Il aime à dire qu'il peint en dilettante, peut-être, mais avec l'énergie débordante d'un jeune homme qui veut expérimenter tous les chemins que lui laisse entrevoir son art. Ses œuvres nous communiquent alors une soif et une joie de vivre au travers d'harmonisations délicates, avec des références colorées empruntées à la céramique, art qu'il a beaucoup pratiqué. Cette légèreté, cette grâce belle et douce nous montre avec optimisme le chemin de la vie.

Le vernissage de l’exposition aura lieu le vendredi 3 janvier à partir de 11h.

« Dans le cadre de la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme (02 avril), l’UNAPEI Pays d’Allier ouvre un trésor d’œuvres réalisées par des personnes accompagnées au sein de plusieurs structures de l’association. Les particularités spécifiques des troubles du spectre de l’autisme n’enlèvent pas un magnifique potentiel artistique et/ou d’étonnantes capacités manuelles créatives ! Venez admirer, en majorité, des tableaux en mosaïque mais aussi peintures, travaux sur bois… Les mosaïstes seront présents au sein de l’exposition les mercredis après-midi 26 mars, 02 et 09 avril pour faire partager leur savoir-faire. »

À cette occasion, les bibliothécaires vous proposent une sélection de romans et documentaires sur le thème de l'autisme.

Voir la sélection complète

« Roger Charasse est le chantre de l’Univers, depuis l’infiniment grand du Cosmos, qui nous appelle à la spiritualité ; jusqu’à l’infiniment petit de ses particules , qui peuplent nos consciences. Des ciels, de jour comme de nuit, des planètes qui s’accouplent ou traversent les tempêtes cosmiques, des espaces larges jusqu’à l’infini, sont traités sans heurts, tout en dégradés de couleurs et en suggestions de formes : ‘le trait limite, sépare, oppose, impose ; il est rigide et dur ; le fondu libère, rapproche, apaise, unit, suggère; il est souple et doux’. Sa peinture invite l’imagination de l’observateur à construire sa vison personnelle des mondes qui nous entourent ; et à retrouver ses rêves inconscients ; pour les uns le mouvement, la profondeur ; pour d’autres la sérénité. Elle se rattache à l’Abstraction Lyrique. Rien ne s’impose : à l’observateur de créer ses propres images. Il a par ailleurs publié 4 ouvrages mêlant peinture et poésie ; et 2 romans. »

« L’atelier d'arts regroupe aujourd'hui 11 personnes. Le souhait des artistes est de s'enrichir tout en partageant techniques et savoirs dans une ambiance conviviale. La création est favorisée grâce à un temps d'échange pris autour d'une pause café.
Chacun, chacune apporte sa sensibilité que vous découvrirez lors de cette exposition "Entre portraits et fleurs", elle se veut vivante, déroutante et haute en couleur. »

« À travers cette exposition, Annick Arcade esquisse un avenir incertain pour ces paysages qui, autrefois, nous émerveillaient et nous apaisaient — témoins silencieux de souvenirs précieux. Sans sombrer dans le fatalisme, l’artiste imagine les traces possibles d’une lente dégradation, interroge les limites du beau face à l’érosion du temps et des gestes humains. Un monde en devenir, entre clarté et pénombre…
Souhaitons qu’il ne s’agisse là que d’une vision — une simple dystopie. »

« Arbres de sable, plumes, feuilles, écailles de sable, petits galets déposés délicatement, luisances... sujets d’émerveillement ici partagé.
A chaque marée, par des forces pleines de mystère, l’océan joue avec les grains de sable et modèle des formes éphémères qu’il offre aux étoiles et à notre regard. »