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Sollicitant les yeux, les oreilles et les émotions, manipulant les idées comme les imaginaires, l’opéra reflète et concentre son époque. Il est tout autant un phénomène culturel d’une ampleur consi...
Voir la fiche (Histoire de l'Opéra Francais. XVII-XVIIIe siècles)
Analyse textuelle, art de l’interprétation, esthétique de la réception, tels sont les différents modes d’approche du phénomène théâtral, qui sont dictés à chacun d’eux, tant par la problématique de...
Voir la fiche (Les grandes théories du théâtre - 4e éd.)
L’opéra français est déterminé par son caractère d’institution d’État, depuis sa création par Louis XIV, qui consacra le genre de la tragédie en musique, jusqu’à l’inauguration en 1989 de l’Opéra B...
Voir la fiche (Histoire de l'opéra français. Du Consulat aux débuts de la IIIème République)
Ce dictionnaire déjà traduit dans une dizaine de langues présente les grandes questions de dramaturgie, d'esthétique, de sémiologie et d'anthropologie théâtrale. Il constitue une somme sur l'histoi...
Voir la fiche (Dictionnaire du théâtre - 4e éd.)
Mise en scène des classiques et des textes contemporains, performance, théâtre du geste, dramaturgie de l’acteur, lecture scénique, nouveaux médias, théâtre de la déconstruction, expériences interc...
Voir la fiche (La mise en scène contemporaine - 2e éd.)
Qu'est-ce qu'une vie de danseur ? Peut-on la raconter ?À partir d'entretiens menés en studio avec des danseurs interprètes de formation, de culture et d'âge différents, Enora Rivière recompose la b...
Voilà l'un des premiers livres sur l'opéra qui nous révèle l'importance de l'intrigue, les paroles échangées, dans et à travers la musique. Et ce livre, c'est une femme qui l'a écrit. Car, si l'on ...
Voir la fiche (L'opéra ou la défaite des femmes)
Paradoxe sur le comédien est un essai sur le théâtre rédigé sous la forme d'un dialogue publié à titre posthume en 1830. Il souligne tout le paradoxe théâtrale de jouer sans ressentir, qui illustre...
Voir la fiche (Paradoxe sur le comédien)
« LE COMTE : Quel homme est-ce ? FIGARO, vivement : C’est un beau gros, court, jeune vieillard, gris, pommelé, rusé, rasé, blasé, qui guette, et furette, et gronde, et geint tou...
Voir la fiche (Le Barbier de Séville)
« Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme as...
Voir la fiche (Le Mariage de Figaro)
« MADAME BEAUDELOCHE, entrant par l'angle de droite en toilette de ville : Florestine, je rentrerai tard, aujourd'hui... vous ferez du feu dans ma chambre et vous attendrez. FLORESTINE&nb...
Voir la fiche (Edgard et sa bonne)
« MARIE, fermant les rideaux de l'alcôve avec humeur : À la fin des fins, elle dort... c'est pas malheureux !... Quelle scie que les enfants !... celle-là surtout... elle est gâ...
Voir la fiche (La Fille bien gardée)
« JUSTIN, entrant à pas de loup : Monsieur dort encore... ne le réveillons pas. ( Regardant la pendule. ) Neuf heures !... Il est flâneur, monsieur... ( Il éternue. ) Cré rhume ...
Voir la fiche (L'Affaire de la rue de Lourcine)
« JEAN : L'ennui de la vaisselle quand on l'a rangée, c'est qu'il faut la déranger. ( Un saladier lui échappe des mains et se casse.) MACHUT, entrant : Paf ! JEAN : Sacrebl...
« COURTIN, sort de sa chambre avec plusieurs lettres à la main ; il est courroucé : Il n'y a donc personne dans cette maison? (Il prend une sonnette sur le guéridon et l'agite.) Holà...
Voir la fiche (Les Petites mains)
« CYPRIEN, assis contre le guéridon de droite, et lisant le journal : "Oui, nous ne saurions trop le répéter, la société est ébranlée dans sa base... que si l'on nous demande un remède.....
Voir la fiche (Un monsieur qui prend la mouche)
« HENRIETTE : ET voilà qu'avec tes confidences tu m'empêches de terminer mon sachet. LÉONCE : Le grand malheur ! HENRIETTE : Laure ne sera pas contente. LÉONCE : C'est...
Voir la fiche (Les Petits Oiseaux)
« SOPHIE : Alors, madame, il ne faudra pas de poisson ? MADAME MALINGEAR, assise à droite du guéridon et travaillant : Non !... Il a fait du vent toute la semaine, il doit ...
Voir la fiche (La Poudre aux yeux)
« CYPRIEN, à Germain : Le calorifère est allumé ? GERMAIN : Oui, depuis ce matin. CYPRIEN : Bon... Voyons le thermomètre... Seize degrés ; c'est le compte. GEORGES, pa...
« PREMIER DOMESTIQUE, assis à droite, regardant son camarade frotter les meubles avec acharnement : Mais arrête-toi donc !... S'il n'a pas l'air d'une manivelle ! DEUXIÈME DOMES...
Voir la fiche (Deux merles blancs)
« HORACE, à Bernard, qui achève de ranger un service de porcelaine sur le guéridon : Il n'y a rien de cassé ? BERNARD : Rien, mon capitaine, tout est complet. HORACE : Eh b...
Voir la fiche (Les Vivacités du capitaine Tic)
« LA VOIX : Mamzelle Frisette, mamzelle Frisette? FRISETTE : Hein ! Quoi ? LA VOIX : Pardon de vous déranger. C'est moi, Barbaroux, le brasseur. FRISETTE : Qu'est...
« SUZANNE, chantant en ratissant des carottes : Si je meurs que l'on m'enterre, Dans la cave où est le vin... (Parlé Cristi ! j'ai manqué de me couper ! PÉPINOIS, entrant avec ...
Voir la fiche (Maman Sabouleux)
« PITOIS, entrant par le fond : Eh bien ? ces rideaux, Dépêchons-nous, mes enfants ! ADELINE : Dans une minute tout sera fini. PITOIS : À neuf heures, monsieur veut qu...
Voir la fiche (Célimare le bien-aimé)
« FOLLEVILLE, seul, à la cantonade : Prévenez M. le marquis de Manicamp que le chevalier de Folleville l'attend au salon. (Descendant la scène.) Allons, c'est décidé, il faut que j'en fin...
Voir la fiche (Embrassons-nous, Folleville !)
« JOSEPH : Dites donc, mademoiselle Annette... qu'est-ce que vous pensez de tout ça ? ANNETTE : De quoi ? JOSEPH : EH bien, du ménage de monsieur et de madame... ANNET...
« RAGUFINE, qui est en train de balayer la terrasse du balcon, au fond : La ! bien ! ... bon ! ... encore comme les autres jours... un, deux, trois, quatre, cinq, huit, dix...
Voir la fiche (Les suites d'un premier lit)
« ISIDORE, comptant de l'or sur le guéridon : Madame vient de me donner un billet de mille francs à changer... voyons si j'ai bien reçu mon compte... Trois et deux, cinq... cinq pièces d'...
Voir la fiche (J'invite le colonel !)
« MADAME GALIMARD, seule, à la cantonade : C'est bien !... je vous ai payé vos huit jours... ne revenez jamais !... Hein ?... vous n'êtes qu'une sotte, une péronnelle ...
Voir la fiche (Un garçon de chez Véry)
« ÉMILE : Entrez, Mandolina... MANDOLINA : Eh bien, il faut convenir que votre domestique a l'oreille dure ! ÉMILE : Oui... j'ai sonné comme un sourd... heureusement j'avai...
Voir la fiche (Le Choix d'un gendre)
« BLANCHE, à Léonida : Ma tante, vous ne faites donc pas votre partie de bouillotte ce soir ? LÉONIDA : J'attends que le quart d'heure soit fini... FÉLIX, à Léonida : C'est...
« JOSÉPHINE, devant la glace, à gauche : Ah ! ... mademoiselle est jolie comme un cœur ! FERNANDE : Merci, Joséphine !... Maman, où donc est papa ? MADAME MONTAU...
Voir la fiche (Les 37 sous de M. Montaudoin)
« CÉSARINE : Vous direz tout ce que vous voudrez, mais, moi, j'aime les jeunes gens de Bordeaux. ANGÈLE : Ils sont gentils, je ne dis pas le contraire. JULIE : D'abord ils sont ...
Voir la fiche (La Commode de Victorine)
« ANTOINE, un plumeau à la main, le nez en l'air, étouffant un éternument : A... a... atch ! ... non ! je n'ose pas... M. Beautendon, mon maître, m'a défendu d'éternuer dans son...
Voir la fiche (La Perle de la Canebière)
« MADAME DÉSARNAUX, à Jean : Ah ! vous voilà... Le docteur était-il chez lui ? JEAN : Oui, madame, il rentrait à l'instant même. MADAME DÉSARNAUX : Et vous l'avez pri...
Voir la fiche (Le Premier Pas)
« PAPHOS : Trois heures !... Le bal de l'Opéra va finir. LE GARÇON, assis, lisant un journal : Et les soupers vont commencer. A-t-on retenu beaucoup de cabinets ? PAPHOS&nb...
Voir la fiche (L'Avare en gants jaunes)
« ANTOINE, soufflant dans ses doigts : Pristi ! pristi !... ça pince ce matin !... dix degrés au-dessous de zéro chez l'ingénieux Chevalier !... le cheval d'Henri IV a...
Voir la fiche (La Chasse aux corbeaux)
« TRONQUOY, il porte une livrée trop dorée et de mauvais goût. Il se regarde dans la glace, à droite. : Suis-je beau, mon Dieu ! suis-je beau ! ADÈLE, assise devant un chevalet,...
Voir la fiche (Le Baron de Fourchevif)
« MADAME LEGRAINARD, à son mari : Voyons !... as-tu bientôt fini de prendre ton café ? LEGRAINARD : Un moment !... il est trop chaud. MADAME LEGRAINARD : Alors po...
« CRAVACHON, se levant : Ça suffit, monsieur... Vous n'aurez pas ma fille. LE NOTAIRE, se levant : Comment !... mais songez donc que je suis... CRAVACHON, brusquement : Quo...
Voir la fiche (Le Major Cravachon)
