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On croyait la cancel culture chasse gardée de la gauche radicale, confinée aux réseaux sociaux, aux campus et aux boycotts militants. Mais, dix ans après l'irruption de Donald Trump, l'arme a changé de camp – et de calibre. Désormais adossée à l'appareil d'État, elle s'exerce par décrets, menaces économiques et pressions judiciaires pour faire taire les voix jugées hostiles au pouvoir.
Cette série (dont le premier épisode est à lire ici) retrace comment la droite trumpiste, jadis pourfendeuse du politiquement correct, a bâti sa propre machine à censurer : une cancel culture d'État, plus redoutable que tout ce qu'elle prétendait combattre.
J'ai appris la mort de Charlie Kirk peu après midi, le 10 septembre, lorsqu'un membre de ma famille m'a prévenu par SMS. En consultant les réseaux socia...
La meute ! Franchement, ce n'est pas un peu exagéré ? Ecrivez-vous alors aussi librement et avec autant de gourmandise sur les meutes en France ? Car il y en a, non ? Pourquoi tant d'agressivité ?
Finalement il y a deux meutes et elles ne valent pas plus cher l'une que l'autre
Le titre est évidemment une référence à celui d'un livre récent contre LFI. Chez les scouts aussi on parle de "meute".