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Le fascisme ressemble parfois au loup de la fable d’Ésope : à force de dire qu’il est là sans qu’il le soit, on finit par baisser la garde quand pointe son horrible museau. À la décharge de ceux qui ont passé les dernières décennies à voir des fascistes partout chez leurs adversaires politiques, il est certain que le fascisme n’est pas simple à définir. « Contrairement à ce que l’on pense en général, le fascisme italien n’avait pas une philosophie propre », écrit Umberto Eco dans son discours de 1995, Reconnaître le fascisme. Dans son Histoire du fascisme, l’historien Frédéric Le Moal abonde : « Depuis son apparition en 1919, le fascisme entretient un impénétrable mystère sur sa véritable nature ».
Contrairement au communisme ou au libéralisme, son irruption sur la scène politique n’a pa...
 
    
Si l’on considére les actes et non leurs theories fumeuses, il n’y a pas l’épaisseur d’un papier à cigarette entre les différentes idéologies : fascisme, gaucho-marxisme et islam radical. Elles ont en commun le totalitarisme ideologique et une élite autoproclamée qui impose ses diktats y compris par le massacre des populations sans distinctions.
Le fascisme est manifestement aujourd’hui le totalitarisme le moins opérationnel.
Est révolu depuis la mort de Mussolini, Salazar, Hitler, Franco, Staline (?).
Ceux qui, de nos jours, se rapprochent le plus de ces déviances tyranniques et mortifères sont les antifas.
Certains ont dû manquer quelques cours d'histoire.
En ce qui concerne la France c'est assez simple : souvent masqué ou voilé pour ne pas être reconnu, (en somme le courage), intolérant, violent, sans intelligence ni capacité de raisonnement, sans culture, et ideologiquement extrêmiste de gauche. Je viens de décrire un antifa.