Temps de lecture : 5 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
-
Exclusivité abonnés connectésPour offrir jusqu'à 5 articles par mois vous devez être abonné(e)Je m'abonneil vous reste ? article(s) à offrir ce mois-ciVotre abonnement vous permet d'offrir jusqu'à 5 articles reservés aux abonnés chaque mois
Ce lien de partage généré est unique et ne pourra être utilisé que par une seule personne. Si vous souhaitez partager cet article avec plusieurs personnes, vous devrez créer un lien pour chacune d'elles.
voir
Lien copié !
ouVous avez déjà offert 5 articlesVous pouvez sauvegarder cet article pour l'offrir le mois prochainCet article vous a été partagé par un procheEn tant qu'abonné, vous pouvez offrir jusqu'à 5 articles par moisCet article vous a été partagé par un prochePour le lire, vous devez vous connecter ou vous créer un compte.Je m'inscris / Je me connecteCe lien n'est plus valideCe lien a déjà été utilisé par une autre personneDécouvrir nos offresSi vous avez déjà ouvert ce lien, connectez-vous
Keir Starmer, le Premier ministre travailliste, au pouvoir au Royaume-Uni depuis à peine plus d'un an, se bat pour reprendre le contrôle de la situation, selonThe Guardian. Celle-ci semble lui échapper : dans les sondages, le parti d'extrême droite Reform UK est soutenu par 31 % des électeurs, contre seulement 21 % pour le Labour et 18 % pour les conservateurs. 68 % des sondés se déclarent mécontents de son gouvernement (contre 24 % qui se disent satisfaits).
Nigel Farage, le leader de Reform UK, accuse le gouvernement travailliste d'impuissance face aux migrations, qui ont pourtant ralenti (431 000 l'an dernier). Son programme, exposé la semaine dernière lors de la conférence nationale de son parti, tient en un slogan : « Stop the boats. » « Nous arrêterons les bateaux et nous enfermero...
À ne pas manquer
-
Un livre sur Elizabeth II et le Brexit secoue le Royaume-Uni
-
Les « Pink Ladies », ces Britanniques en première ligne des rassemblements anti-immigration
-
10 h 30 : les dernières heures de Bayrou, affaire Péchier, fusillade à Jérusalem… L'actu du jour en bref
-
« Paris sera-t-il l’épicentre d’une nouvelle crise de l’euro ? » : la France inquiète ses voisins
Au lieu de dénoncer la température, il vaudrait mieux s'interroger sur les raisons de la fièvre mais pas à la manière d'un " médecin malgré lui", plutôt un Pasteur.
Pas besoin de sonner le tocsin. Avec plus de 8 milliards d'habitants, la démocratie n'est sans doute plus capable de régir la vie de la cité. C'est tout.
Ajouté à cela les dérives répétées des gauchards hors sol négationnistes du droit des victimes et vous avez le résultat sous le nez. Le RN représentera bientôt 30% de l'électorat.
C'est pareil partout ailleurs. Les citoyens qui bossent et qui créent de la richesse en ont ras la casquette des donneurs de leçons vendeurs du "mieux vivre ensemble avec l'argent des autres" incapables de garantir leur sécurité dans l'espace public.
En ce qui concerne ce pays, quand on est élu et qu'on se trouve face à plus de 3000 milliards de dette, on n'accuse pas la génération des boomers d'avoir cramé la caisse pour avoir un prétexte de leur faire les poches en ponctionnant leurs retraites.
Ca suffit.