Chronique

Un « bon » et un « mauvais » antisémitisme, vraiment ?

LA CHRONIQUE DE FERGHANE AZIHARI. Pour la gauche, prisonnière de l’extrême droite musulmane, la lutte contre l’antisémitisme est devenue une variable d’ajustement.

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Temps de lecture : 4 min

En 2022, la Fondapol réalisait, en partenariat avec l'American Jewish Committee, une étude sur l'antisémitisme dans la société française. On y apprenait que les électorats les plus sensibles aux préjugés antisémites sont ceux de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen. « L'affirmation selon laquelle “les juifs ont trop de pouvoir dans le domaine de l'économie et de la finance” est partagée par 33 % des répondants au sein de l'électorat de Jean-Luc Mélenchon et par 34 % des proches de La France insoumise, par 39 % de l'électorat de Marine Le Pen et par 33 % des proches du Rassemblement national, contre 26 % dans l'ensemble de la population », note l'étude.

« Pas si vite », rétorquent les bonnes âmes. Il y a le bon et le mauvais antisémitisme ! Tel est le message de l'historien Vincent Lemi...

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Commentaires (11)

  • Callaghan

    Ou l'imonde ?

  • Lou Reed

    La fille de 12 ans aurait donc subit un bon antisémitisme, ces agresseurs n’étaient pas d’extrême droite, la fille Sandler encore plus jeune lorsqu’elle a été assassiné par Mehra car juive elle aussi a été victime d’un bon antisemitisme.
    On est rassuré, en France en adaptant comme on l’entend les définitions et les concepts, l’antisémitisme reste résiduel.

  • Freedom

    Exactement la remarque que j’ai faite quand cet article sur le Monde est sorti dans LePoint. Hallucinant !