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Le jour où Ieshia Townsend a trouvé un emploi dans un McDonald's de Chicago, en 2015, fut l'un des plus beaux de sa vie. Après des années ponctuées de petits boulots et d'aides sociales, cette mère célibataire de deux enfants de 3 et de 10 ans allait enfin pouvoir boucler ses fins de mois. « J'ai prié pour avoir ce travail. J'en avais marre de dire à mes gamins que je n'avais pas les moyens de leur acheter à manger », se souvient l'Afro-Américaine. Mais, très vite, son maigre salaire - moins de 600 dollars par semaine - l'oblige à trouver des jobs complémentaires de livreuse. La fatigue s'accumule. Conditions de travail usantes, intransigeance de sa hiérarchie… Son état de santé se dégrade. Mais se mettre en arrêt maladie ne lui donne pas droit aux indemnités. Alors, après une énième vi...
CHRIS RUSANOWSKY/ZUMA-REA POUR « LE POINT » – Chris Riha/ZUMA-REA POUR « LE POINT » – Bryan R. Smith/ZUMA-REA POUR « LE POINT » – Kenneth Martin/ZUMA-REA POUR « LE POINT »
Bonjour mon cher CAIUS06.
ils n'abandonnent pas le monde du travail, ils tentent de trouver un autre statut économique et social qui les satisferont davantage ; c'est un nouvel arbitrage plus qu'un abandon.
Cet article est typique d'un X de la théorie X et Y de Mac Gregor, et typique de la formation dispensée par l'Etat.
Or, on ne donne jamais le moindre pouvoir aux X, y compris de raconter leurs salades.
L'arbitrage reel est celui de Maslow ; un triangle : en haut : un amour inconditionnel (offert par le welfare state) et à la base un arbitrage entre sécurité et liberté (réversible).
cdt
Vous avez raison … en partie…… J’ai assisté en décembre à des réunions de travail d’un petit groupe qui est en train de constituer un fond d’investissements… Tous cadres sup. Grosses sociétés. 3 ont déjà démissionné. Les 2 autres le feront après avoir encaissé leur bonus. Et le 31 soirée avec des étrangers tous naturalisés à Houston. Pratiquement tous avec des envies d’ailleurs (en restant aux EU bien sûr) soit ds leur propre boîte à créer, soit ds une nouvelle société mais tous quoiqu’il arrive continueront d’une manière ou d’une autre à avoir des activités en Tele travail au moins partiellement et avec un objectif d’au moins deux activités… er la pas de pb de formation mais une autre vision… une sorte de Covid long pour ke monde de l’entreprise.
Parler de la disparition du travail et de la valeur travail est inapproprié puisqu'il s'agit de la disparition de quelques emplois salariés n'offrant pas un rapport qualité / prix satisfaisants dans certains métiers.
Ces personnes vont continuer à travailler, mais dans d'autres conditions.
Quant au mouvement déclenchant, c'est un welfare excessif qui a mené à la remise en cause du statut économique et social de quelques uns et qui a provoqué une explosion de la demande US dans des bien de consommation courantes et en pénurie.
Mais le secteur productif réagit par des investissements et l'automatisation de certaines taches, en plus d'ajuster le niveau de salaires et la qualité des rapports sociaux.
Les mesures prises à la légère par Biden ont eu pour effet de modifier les comportements, ce qui n'était pas le but initial ; quant au probleme US, c'est la crise des compétences à tous les niveaux et il se résout par la formation, budget à enclencher d'urgence et qui seul justifie d'une hausse de salaires ne menant pas à un cercle vicieux.