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En 2024, la dette publique aux Pays-Bas s'élevait à 48,2 % de la production intérieure brute (PIB), ce qui en 2023 représentait 481 milliards d'euros (voir graphique). Le pays respecte donc ses engagements européens – le plafond étant fixé à 60 %. Après l'effort consenti pour entrer dans la zone euro, le ratio de dette a grimpé à 62,5 % en 2008 avec la crise des subprimes, a culminé en 2014, puis recule depuis (hors période Covid).
Les Pays-Bas ont choisi d'assainir leurs finances en réduisant les dépenses, sans relever les impôts : le ratio de prélèvements obligatoires est resté globalement stable sur la période 1995‑2024. Cette trajectoire s'explique par un cadre légal original qui impose une politique budgétaire tendancielle et contracyclique.
Le FMI fera le job (sale boulot). Le + tôt sera le mieux.
Deux différences majeures expliquent la différence majeure entre les situations financières de la France et des Pays-Bas :
1) dans les affaires, les Néerlandais ont la réputation (vérifiée par l'auteur de ces lignes) de savoir compter ;
2) en politique, les Néerlandais ne sont pas gouvernés par des énarques...
L'accord migratoire de 1968 avec l'Algérie coûte 2 milliards par an selon un récent rapport parlementaire.
Quand on voit que Macron persiste contre vents et marées, sans jamais la moindre explication convaincante, à refuser de le dénoncer, alors on comprend que le vrai problème du déficit français, c'est Macron !