Temps de lecture : 4 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
-
Exclusivité abonnés connectésPour offrir jusqu'à 5 articles par mois vous devez être abonné(e)Je m'abonneil vous reste ? article(s) à offrir ce mois-ciVotre abonnement vous permet d'offrir jusqu'à 5 articles reservés aux abonnés chaque mois
Ce lien de partage généré est unique et ne pourra être utilisé que par une seule personne. Si vous souhaitez partager cet article avec plusieurs personnes, vous devrez créer un lien pour chacune d'elles.
voir
Lien copié !
ouVous avez déjà offert 5 articlesVous pouvez sauvegarder cet article pour l'offrir le mois prochainCet article vous a été partagé par un procheEn tant qu'abonné, vous pouvez offrir jusqu'à 5 articles par moisCet article vous a été partagé par un prochePour le lire, vous devez vous connecter ou vous créer un compte.Je m'inscris / Je me connecteCe lien n'est plus valideCe lien a déjà été utilisé par une autre personneDécouvrir nos offresSi vous avez déjà ouvert ce lien, connectez-vous
Quai André-Citroën.
Non loin du pont Mirabeau, où coule la Seine, d'Apollinaire.
Au cœur de cet ancien Paris ouvrier dépeint, dans la première moitié du XXe siècle, par Paul Nizan, Roger Vailland et le Aragon des Communistes.
Nous sommes le vendredi 5 septembre.
Et c'est là que le Conseil de Paris a décidé, à l'unanimité, d'inaugurer une allée des Peshmergas.
Les peshmergas sont, pour mémoire, ces combattants kurdes qui vont « au-devant de la mort ».
Je leur ai consacré il y a dix ans un film, Peshmerga, qui m'avait fait les suivre, des mois durant, le long des 1 000 kilomètres de la ligne de front qui allait de Souleimaniye à Sinjar et où ils tenaient tête à Daech.
Puis un deuxième, La Bataille de Mossoul, embarqué avec leurs unités d...
Soutien à l’émotion de BHL….