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La science n'avance plus. C'est un refrain que l'on entend depuis déjà pas mal d'années. Certes, il y a bien encore des développements, des évolutions, des perfectionnements, mais rien d'aussi révolutionnaire, « disruptif » que jadis. Aujourd'hui, à quelques très rares exceptions près, on ne se contenterait que d'améliorer l'existant. Une idée, notamment, au cœur du propos de l'anthropologue américain David Graeber dans Bureaucratie, l'utopie des règles (Les Liens qui libèrent, 2015). Selon lui, la contraction, voire la paralysie, des innovations technoscientifiques observée grosso modo depuis les années 1980 dans les pays développés aurait tout à voir avec l'enflure bureaucratique, elle-même fruit de la culture de concurrence, consubstantielle au mal néolibéral.
« L'interpénétration cro...
 
    
Il y a toujours un principe de Peter !... Hélas.
@Ferula
Un climato-sceptique demande à vérifier. Un climato-négationniste raconte n'importe quoi sans rien vérifier, le plus souvent parce qu'il n'en est pas capable.
Par exemple affabuler sur le mode de calcul du réchauffement sans en avoir pris connaissance, ou sur la construction des modèles qui pourtant ont bien prédit ce qui se passe actuellement.
@ guy bernard :
Merci pour ces précisions. Je considère cependant, pour en avoir été témoin dans ma vie professionnelle que les hiérarchies présentes dans le monde économique, et non pas seulement dans le monde politico-administratif, offrent parfois de belles illustrations du principe de Peter. Les promotions ne se font pas toujours sur le seul critère de la compétence. C'est parfois heureux d'ailleurs, mais souvent le résultat est consternant.