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« La souveraineté numérique n'est pas un luxe, c'est une condition de notre liberté. » À une époque où l'Europe commence à mesurer le prix de sa dépendance technologique, Stanislas de Rémur, lui, n'a pas attendu les crises géopolitiques pour agir. En cofondant Oodrive dès 2000, il parie sur un cloud souverain avant même que le terme ne devienne un mot-clé de la souveraineté numérique.
Visionnaire ou entêté ? Un peu des deux. Or, aujourd'hui, son entreprise, spécialiste des suites collaboratives de confiance, tout comme beaucoup d'entreprises nées en France, a tout pour équiper ministères, entreprises critiques et organismes stratégiques. Membre influent de l'écosystème tech via Numeum, copilote du tout nouveau comité stratégique de filière Logiciels et solutions numériques de confiance...
Les contrats des grandes entreprises et des pouvoirs publics devraient nourrir nos pépites dès leur phase de croissance.
Tout est dit, la France n'aime pas les "success stories" et la jalousie rogne toutes ambitions.
Il n'y a pas que les centres de données, il y a aussi le transport de l'information.
Le seul moyen de sécuriser ses données, outre les fermes, c'est de créer des circuits de transfert aller/retour avec ces centres sécurisés et dédiés.
Ne pas se faire d'illusion la NSA (et bientôt la Chine si ce n'est déjà fait) est capable de déchiffrer à peu près n'importe quoi circulant sur les "autoroutes de l'information" et avec l'arrivée du plasma, on pourra réellement dire déchiffrer (et donc exploiter) absolument tout.
Exemple ce qui arrive à Giorgia Meloni et son lèche machin gigantesque pour Trump et sa clique, elle essayait de conclure un contrat avec Musk pour faire transiter sur Star Link toutes les données militaires et de défense en plus des autres données de l'Italie. Cela lui a été formellement interdit par le reste de l'UE ou sinon elle serait déconnectée du réseau européen (en interne les militaires et tout ce qui touche à la sécurité hurlait contre elle).
Nos dirigeants sont, dans l'ensemble, très naïfs (et pour certains des enveloppes bien juteuses aident beaucoup).
Vous oubliez que tout le système informatique de Bercy est. Américain !