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C'est une présentation qui a été faite lors de sa conférence pour développeurs, les 20 et 21 mai, à Mountain View. Google n'a pas relancé les lunettes connectées par fierté, pour faire oublier l'échec retentissant d'il y a une dizaine d'années, lorsque les Google Glass destinées au grand public ont été abandonnées car jugées intrusives et peu esthétiques. Mais parce que ce prototype pourra, à terme, traduire en temps réel, reconnaître des objets et orienter géographiquement son porteur, et sera également capable de fournir des données à l'intelligence artificielle. Comme l'explique le cocréateur de DeepMind Demis Hassabis, aujourd'hui Monsieur IA chez Google, il manque à la machine une représentation du monde pour espérer lui conférer un début de sens commun.

Avant, Il y avait le LSD pour halluciner en temps réel. Maintenant vous avez les lunettes IA. C’est moins toxique… on l’espère en tout cas.
Qu'en dirait le docteur Victor Frankenstein ?