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Dans la panique du 11 septembre 2001, les New-Yorkais qui se trouvaient aux abords des tours jumelles ont tenté de fuir comme ils le pouvaient. Mais avec les ponts et les tunnels fermés, certains se sont spontanément regroupés sur le littoral de la pointe sud de Manhattan, où plus de 150 bateaux, petits et grands, effectuaient des rotations sans relâche pour transporter le plus de gens possible vers le New Jersey voisin et Brooklyn.
Cette opération de sauvetage a été surnommée le « Boatlift », ou « pont maritime ». Au total, elle a permis d’évacuer quelque 500 000 personnes. C’est plus que les 350 000 soldats français et britanniques sortis par bateaux de Dunkerque en 1940. « On a évacué tout le monde en neuf heures », se souvient le capitaine Andrew McGovern, l’un des chefs d’orchestre...
L'ultime analyse est bien la votre, l'humanité est capable du mieux (ces marins US) au pire (ces fanatiques religieux).
Si, au global la moyenne est au centre, cette guerre entre Bien/Mal elle est permanente sur l'humanité depuis la nuit des temps, combat entre Dieu/Diable ? Oui ; alors choisissons notre camp !
Le capitaine Andrew McGovern, comme tous les marins et sauveteurs qui ont participé, sont des gens qui me réconcilient avec le genre humain.
Bravo à eux, et pour leur sens de l'organisation extraordinaire.
Ils pouvaient rester à Manhattan. Ils risquaient quoi ? Faut pas nous faire Dunkerque, Saigon ou Kaboul