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Il y a trente ans, dans une ferme des Aurès, ce massif sec et hostile de l'Est algérien, un petit garçon accompagnait sa grand-mère lors des vacances scolaires, à l'aube glaciale, après la première prière de la journée, pour arroser et prendre soin des arbres fruitiers qui résistaient à la dureté du climat aride. La tâche est rude : une bataille quotidienne contre la sécheresse, la rocaille et le vent qui assèche tout jusqu'aux os. Mais les arbustes tiennent bon grâce à la pugnacité de cette grand-mère qui ne ménage pas sa peine. La verdure avance même sur un sol ingrat. Le miracle est affaire de persévérance.
Le petit garçon a grandi avec cette passion pour les arbres, capables de transformer l'environnement et les hommes. Il s'appelle Fouad Maâli, et ce samedi 25 octobre, il s'apprête...
Très bien, le gars a une riche idée et l'Algérie en a bien besoin. C'est encourageant, je lui souhaite toute la réussite.
La vie des algériens qui s’investissent dans le développement de l’Algérie est plus intéressante que celle de ceux qui sont retournés sous la gouvernance de la France. Voilà le type d’influenceur dont l’Algérie a besoin.
Quelle magnifique initiative ! Un rêve d'enfant qui se réalise, c'est beau !