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Où est passée celle qui, quelques semaines avant son arrestation, s'affichait sur les réseaux sociaux telle une influenceuse en mal de followers, la bouche en cœur et le maquillage ultratravaillé, cheveux de jais et visage lissé par les filtres magiques de son téléphone portable ? Dahbia Benkired, 27 ans désormais, n'a physiquement plus rien à voir avec cette créature artificielle comme il en pullule sur TikTok. Son visage est blême, boursouflé et piqué d'acné ; ses cheveux ont été ramenés en arrière dans un sage chignon ; elle a troqué sa veste cintrée contre un tee-shirt blanc surmonté d'un banal gilet noir.
Elle s'assied, croise les bras et fixe les boiseries de la salle d'audience avec le regard perdu d'un animal traqué. Son entrée dans le box suscite haut-le-cœur et sanglots étouffé...
Et oui quel contraste que le démarrage de ce procès avec ses détails sordides, quelques heures après la "Panthéonisation" de mr Badinter pour "son œuvre"...
Aucune excuse, aucune mansuétude...
Aucun regret, rien d'humain chez cette... Inqualifiable.
Elle ne veut pas retourner chez elle (l'Algérie) parce qu'elle ne
pourrait pas y mener cette vie d'inhumaine.
L'Algérie n'en veut pas, d'ailleurs, elle nous en laisse la charge,
comme d'hab.
Badinter au Panthéon ?
Quand on comprendra que la peine de mort ne doit pas viser à assassiner à meurtrier mais à éviter qu'il ne tue d'autres innocents.