À l’ère post-MeToo, le consentement est au cœur des débats publics et des questions pénales. Mais ce débat est-il nouveau ? Pas vraiment. Il a plus de huit siècles.
Dans cette chronique du Fil histoire de France Culture, Emanuel Arioli explore l’histoire du consentement en précisant qu’il ne s’agit pas d’un concept récent. En effet, depuis le XIIᵉ siècle, notamment grâce au moine juriste Gratien à Bologne vers 1140, le consentement mutuel des époux est reconnu comme fondement du mariage. Voyons comment cette idée du consentement s’étend ailleurs, comme chez les chevaliers de la Table Ronde. Pourquoi le consentement reste-t-il un sujet brûlant aujourd’hui, alors qu’il est inscrit dans les textes depuis huit siècles ?
Pour voir ce contenu, acceptez les cookies.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
À lire aussi
Bibliographie
Emanuele Arioli, Ségurant, le chevalier au dragon
À lire aussi
À lire aussi
L'équipe
- Coordination
- Collaboration
- Réalisation
- Chronique
- Philippine QuentinAttaché(e) d'édition



