Le document analyse la crise de la dette à travers deux scénarios : une épopée américaine marquée par des inégalités croissantes et un drame européen résultant de la globalisation financière. Il dépeint les conséquences d'une accumulation excessive de dettes et l'incapacité des institutions financières à gérer ces crises, exacerbées par des réglementations inadéquates. Enfin, il évoque l'hypothèse de stagnation séculaire, où une trop grande épargne rencontre une faible capacité d'investissement.