Différences Hommes - FemmesRéalité, illusion ou utopie ?Par Maxime St-OngeM.Sc NutritionPhD Activité physique
Similitudes et différencesComposition corporelleMétabolisme énergétiqueCapacité aérobieForce musculaireHypertrophieSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Composition corporelleHommesStature plus importanteMasse maigre plus importante (os, organes et muscles)Masse grasse inférieureDistribution centrale de la masse grasseFemmesStature moins importanteMasse maigre inférieure(membres supérieurs)Masse grasse plus importanteDistribution périphérique de la masse grasse (pré et péri ménopause)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Composition corporelleMasse Osseuse3%2.4kg5%4kg30%24kg20%16kgMasse Grasse75%60kg67%53.6kgMasse MaigreSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Composition corporelleHommesFemmesSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Gras viscéral vs sous-cutanéFemmesHommesPlus de gras abdominal viscéralPlus de gras abdominal sous-cutanéSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Quantité de fibres musculairesBiceps brachiMoins de fibres chez les femmes (Sale et al. 1987)Autant de fibres chez les femmes(Miller et al. 1992)Probable: différences régionales du nombre de fibresHomme ou Femme ?Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Différences homme-femmeType IType IIAType IIXHommes4800 um²6200 um²5200 um²Femmes3600 um²3200 um²2800 um²Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Adaptations: HypertrophieHommesBénéficient d’une masse musculaire initiale plus importanteFemmesAuraient une légère prépondérance de fibres type ISynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Gain en hypertrophie (16 sem)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Hypertrophie: progressionProgression similaire sur16 semainesen gains relatifsLes hommes se distinguent par une diminution plus importante du gras sur une période plus longueSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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Hypertrophie: différences régionalesAprès 24 semaines d’entraînement en musculation (Selon Nindl et al 2000):31% de perte en masse grasse pour les membres supérieursAucun gain significatif en masse musculaire pour les membres supérieursAucune perte de masse grasse pour les membres inférieurs5% de gain significatif en masse musculaire pour les membres inférieursSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Hypertrophie: différences régionalesAprès 24 semaines d’entraînement en musculation (Selon Kraemer et al 2002):15-19% d’augmentation pour CSA du bras5-9%d’augmentation pour CSA de la cuisse	Dépend probablement du niveau initial d’entraînement des sujetsSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Causes de gains exceptionnelsNiveau de testostérone plus élevéNiveau d’hormone de croissance plus élevéRéponse hormonale à l’entraînement plus importanteRatio plus faible estrogène – testostéronePrédisposition génétiqueCapacité à soutenir un volume et intensité plus élevés à l’entraînementSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
RésuméLes femmes ont une plus grande proportion de fibres de type ILes femmes hypertrophient davantage au niveau des fibres de type IIAProbablement à cause du bassin de Type IIXLes femmes ont un potentiel hypertrophique similaire aux hommes mais possèdent une masse maigre initiale moins importanteSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Équilibre énergétiqueRelation entre les apports et la dépenseRégulé par une multitude de facteursEndocriniensComportementauxEnvironnementauxEtc.Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Régulation de l’équilibre énergétiqueHommesGestion du déficit énergétique via régulation de l’appétitPlus le déficit énergétique est important, plus l’appétit est stimuléFemmesGestion du déficit énergétique via régulation de la dépense énergétiquePlus le déficit énergétique est important, plus l’activité physique tend à diminuerSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Perte et gestion du poidsHommesInterventions nutritionnelles pour être plus profitablesÉvaluation des portionsÉducation nutritionnelleGestion des apportsFemmesInterventions en activité physique pourraient être plus profitablesAugmentation du niveau d’activité physiqueAugmentation de la masse musculaireSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Adaptations: Capacité aérobieHommesVO² max 5-15% supérieur pour un même niveau d’entraînementTaux d’hémoglobine parfois plus faible (15-20%)FemmesOnt un volume sanguin inférieurAugmentation plus faible du volume d’éjection systolique suite à l’entraînementThermorégulation plus difficile (dissipation, sudation)Utilisation des substrats différenteSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Oxydation des substrats (repos)Les femmes présentent une oxydation des lipides possiblement plus faible que les hommes				CependantAprès correction pour la masse maigre, il n’existe plus de différenceSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Oxydation des substrats (repos)Jeun 0-2h (% de l’énergie)Jeun 0-2h (g/2h)**Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
En théorie…Au repos, à jeun:Les femmes pourraient oxyder jusqu’à 4kg de moins de gras que les hommes par année de par leur gabarit différentAvec un peu plus de masse musculaire, cette différence serait abolie- ~2-3kg de masse musculaire de plus pourrait potentiellement suffire (modèle théorique)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Oxydation des substrats (efforts)Effort 2h (40% VO² max)Post effort 2h***Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Comment expliquer ces différences ?Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Phase FolliculairePhase LutéaleEffet synergique œstrogène / progestéroneEffet unique des œstrogènesMenstruationsOvulationSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Adaptations: ForceHommesLeur masse musculaire leur procure une force absolue plus importanteLa distribution de leur masse musculaire favorise la force des membres supérieursFemmesMoins fortes en force absolueQu’en est-il de la force relative ?Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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Gains en force (16 sem)**Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Gains en force (24 sem)*Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Gains de forceLes femmes gagnent autant sinon plus de force relative que les hommesLes femmes gagnent plus rapidement en forceLes femmes plafonnent généralement après 3-5mois d’entraînement (force)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Quelques erreurs potentiellesSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Orientation & PerceptionFemmesDifficilement orientées vers un entraînement RÉEL en forceLeurs différences en force et composition corporelle peuvent partiellement découler d’une perception et prescription erronéeHommesRarement orientés vers du développement moteur et de la coordination motricePourraient bénéficier d’une meilleure rentabilité musculaireSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Pour l’égalité des sexesÀ éviter pour les femmesMiser trop souvent sur des exercices spécifiquesPas assez de charges, trop de répétitionsTrop d’entraînement aérobie pas assez de musculationCraintes et peurs injustifiées de la musculation et de la forceSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Pour l’égalité des sexesÀ éviter pour les hommesMiser trop souvent sur l’hypertrophie sans développer le recrutement neuromusculaireNégliger la flexibilité (diminution de la force et de la puissance)Négliger la coordination motriceSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Questions ? Consultez notre site: www.synemorphose.comOu visitez notre blogue:www.drkin.comSynemorphose 2010 © Tous droits réservés
Références1.	Sparks, L.M., et al., Effect of adipose tissue on the sexualdimorphism in metabolicflexibility.Metabolism, 2009. 58(11): p. 1564-71.2.	Shi, H., R.J. Seeley, and D.J. Clegg, Sexualdifferences in the control of energyhomeostasis. Front Neuroendocrinol, 2009. 30(3): p. 396-404.3.	Shi, H. and D.J. Clegg, Sexdifferences in the regulation of body weight.PhysiolBehav, 2009. 97(2): p. 199-204.4.	Geer, E.B. and W. Shen, Genderdifferences in insulinresistance, body composition, and energy balance. Gend Med, 2009. 6 Suppl 1: p. 60-75.5.	Power, M.L. and J. Schulkin, Sexdifferences in fat storage, fat metabolism, and the healthrisksfromobesity: possible evolutionaryorigins.Br J Nutr, 2008. 99(5): p. 931-40.6.	Perez-Gomez, J., et al., Role of muscle mass on sprint performance: genderdifferences?Eur J ApplPhysiol, 2008. 102(6): p. 685-94.7.	Harms, C.A. and S. Rosenkranz, Sexdifferences in pulmonaryfunctionduringexercise. Med Sci Sports Exerc, 2008. 40(4): p. 664-8.8.	Wells, J.C., Sexualdimorphism of body composition. Best PractRes Clin EndocrinolMetab, 2007. 21(3): p. 415-30.9.	Magnusson, S.P., et al., The adaptability of tendon to loadingdiffers in men and women. Int J ExpPathol, 2007. 88(4): p. 237-40.10.	Volek, J.S., C.E. Forsythe, and W.J. Kraemer, Nutritional aspects of womenstrengthathletes.Br J Sports Med, 2006. 40(9): p. 742-8.Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Références11.	Stefani, R.T., The relative power output and relative lean body mass of World and Olympic male and female champions with implications for genderequity. J Sports Sci, 2006. 24(12): p. 1329-39.12.	Harms, C.A., Doesgender affect pulmonaryfunction and exercisecapacity?RespirPhysiolNeurobiol, 2006. 151(2-3): p. 124-31.13.	Perreault, L., et al., Genderdifferences in insulin action after a single bout of exercise. J ApplPhysiol, 2004. 97(3): p. 1013-21.14.	Charkoudian, N. and M.J. Joyner, Physiologicconsiderations for exercise performance in women. Clin Chest Med, 2004. 25(2): p. 247-55.15.	Nielsen, S., et al., Energyexpenditure, sex, and endogenous fuel availability in humans. J Clin Invest, 2003. 111(7): p. 981-8.16.	Deschenes, M.R. and W.J. Kraemer, Performance and physiologic adaptations to resistance training. Am J Phys Med Rehabil, 2002. 81(11 Suppl): p. S3-16.17.	Doherty, T.J., The influence of aging and sex on skeletal muscle mass and strength.CurrOpin Clin NutrMetab Care, 2001. 4(6): p. 503-8.18.	Braun, B. and T. Horton, Endocrine regulation of exercisesubstrateutilization in womencompared to men.Exerc Sport SciRev, 2001. 29(4): p. 149-54.19.	Blaak, E., Genderdifferences in fat metabolism.CurrOpin Clin NutrMetab Care, 2001. 4(6): p. 499-502.20.	Goris, A.H. and K.R. Westerterp, Postabsorptiverespiratory quotient and food quotient-an analysis in lean and obese men and women.Eur J Clin Nutr, 2000. 54(7): p. 546-50.Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
Références21.	Davis, S.N., et al., Effects of gender on neuroendocrine and metaboliccounterregulatoryresponses to exercise in normal man. J Clin EndocrinolMetab, 2000. 85(1): p. 224-30.22.	Dionne, I., et al., Genderdifference in the effect of body composition on energymetabolism. Int J ObesRelatMetabDisord, 1999. 23(3): p. 312-9.23.	Toth, M.J., et al., Genderdifferences in fat oxidation and sympatheticnervous system activityatrest and duringsubmaximalexercise in olderindividuals. Clin Sci (Lond), 1998. 95(1): p. 59-66.24.	Lovejoy, J.C., The influence of sex hormones on obesityacross the female life span. J WomensHealth, 1998. 7(10): p. 1247-56.25.	Horton, T.J., et al., Fuel metabolism in men and womenduring and after long-durationexercise. J ApplPhysiol, 1998. 85(5): p. 1823-32.26.	Lindle, R.S., et al., Age and gendercomparisons of muscle strength in 654 women and men aged 20-93 yr. J ApplPhysiol, 1997. 83(5): p. 1581-7.27.	Hurley, B.F., Age, gender, and muscularstrength. J Gerontol A BiolSci Med Sci, 1995. 50 Spec No: p. 41-4.28.	O'Toole, M.L., Genderdifferences in the cardiovascularresponse to exercise.Cardiovasc Clin, 1989. 19(3): p. 17-33.29.	Hoyenga, K.B. and K.T. Hoyenga, Gender and energy balance: sexdifferences in adaptations for feast and famine.PhysiolBehav, 1982. 28(3): p. 545-63. Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés

Différences hommes femmes

  • 1.
    Différences Hommes -FemmesRéalité, illusion ou utopie ?Par Maxime St-OngeM.Sc NutritionPhD Activité physique
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    Similitudes et différencesCompositioncorporelleMétabolisme énergétiqueCapacité aérobieForce musculaireHypertrophieSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Composition corporelleHommesStature plusimportanteMasse maigre plus importante (os, organes et muscles)Masse grasse inférieureDistribution centrale de la masse grasseFemmesStature moins importanteMasse maigre inférieure(membres supérieurs)Masse grasse plus importanteDistribution périphérique de la masse grasse (pré et péri ménopause)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 4.
    Composition corporelleMasse Osseuse3%2.4kg5%4kg30%24kg20%16kgMasseGrasse75%60kg67%53.6kgMasse MaigreSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Gras viscéral vssous-cutanéFemmesHommesPlus de gras abdominal viscéralPlus de gras abdominal sous-cutanéSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Quantité de fibresmusculairesBiceps brachiMoins de fibres chez les femmes (Sale et al. 1987)Autant de fibres chez les femmes(Miller et al. 1992)Probable: différences régionales du nombre de fibresHomme ou Femme ?Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Différences homme-femmeType ITypeIIAType IIXHommes4800 um²6200 um²5200 um²Femmes3600 um²3200 um²2800 um²Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Adaptations: HypertrophieHommesBénéficient d’unemasse musculaire initiale plus importanteFemmesAuraient une légère prépondérance de fibres type ISynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Gain en hypertrophie(16 sem)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 11.
    Hypertrophie: progressionProgression similairesur16 semainesen gains relatifsLes hommes se distinguent par une diminution plus importante du gras sur une période plus longueSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 12.
    Synemorphose 2010 ©Tousdroitsréservés
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    Hypertrophie: différences régionalesAprès24 semaines d’entraînement en musculation (Selon Nindl et al 2000):31% de perte en masse grasse pour les membres supérieursAucun gain significatif en masse musculaire pour les membres supérieursAucune perte de masse grasse pour les membres inférieurs5% de gain significatif en masse musculaire pour les membres inférieursSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Hypertrophie: différences régionalesAprès24 semaines d’entraînement en musculation (Selon Kraemer et al 2002):15-19% d’augmentation pour CSA du bras5-9%d’augmentation pour CSA de la cuisse Dépend probablement du niveau initial d’entraînement des sujetsSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 15.
    Causes de gainsexceptionnelsNiveau de testostérone plus élevéNiveau d’hormone de croissance plus élevéRéponse hormonale à l’entraînement plus importanteRatio plus faible estrogène – testostéronePrédisposition génétiqueCapacité à soutenir un volume et intensité plus élevés à l’entraînementSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 16.
    RésuméLes femmes ontune plus grande proportion de fibres de type ILes femmes hypertrophient davantage au niveau des fibres de type IIAProbablement à cause du bassin de Type IIXLes femmes ont un potentiel hypertrophique similaire aux hommes mais possèdent une masse maigre initiale moins importanteSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 17.
    Équilibre énergétiqueRelation entreles apports et la dépenseRégulé par une multitude de facteursEndocriniensComportementauxEnvironnementauxEtc.Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Régulation de l’équilibreénergétiqueHommesGestion du déficit énergétique via régulation de l’appétitPlus le déficit énergétique est important, plus l’appétit est stimuléFemmesGestion du déficit énergétique via régulation de la dépense énergétiquePlus le déficit énergétique est important, plus l’activité physique tend à diminuerSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 19.
    Perte et gestiondu poidsHommesInterventions nutritionnelles pour être plus profitablesÉvaluation des portionsÉducation nutritionnelleGestion des apportsFemmesInterventions en activité physique pourraient être plus profitablesAugmentation du niveau d’activité physiqueAugmentation de la masse musculaireSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 20.
    Adaptations: Capacité aérobieHommesVO²max 5-15% supérieur pour un même niveau d’entraînementTaux d’hémoglobine parfois plus faible (15-20%)FemmesOnt un volume sanguin inférieurAugmentation plus faible du volume d’éjection systolique suite à l’entraînementThermorégulation plus difficile (dissipation, sudation)Utilisation des substrats différenteSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 21.
    Oxydation des substrats(repos)Les femmes présentent une oxydation des lipides possiblement plus faible que les hommes CependantAprès correction pour la masse maigre, il n’existe plus de différenceSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 22.
    Oxydation des substrats(repos)Jeun 0-2h (% de l’énergie)Jeun 0-2h (g/2h)**Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 23.
    En théorie…Au repos,à jeun:Les femmes pourraient oxyder jusqu’à 4kg de moins de gras que les hommes par année de par leur gabarit différentAvec un peu plus de masse musculaire, cette différence serait abolie- ~2-3kg de masse musculaire de plus pourrait potentiellement suffire (modèle théorique)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Oxydation des substrats(efforts)Effort 2h (40% VO² max)Post effort 2h***Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Comment expliquer cesdifférences ?Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 26.
    Phase FolliculairePhase LutéaleEffetsynergique œstrogène / progestéroneEffet unique des œstrogènesMenstruationsOvulationSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 27.
    Adaptations: ForceHommesLeur massemusculaire leur procure une force absolue plus importanteLa distribution de leur masse musculaire favorise la force des membres supérieursFemmesMoins fortes en force absolueQu’en est-il de la force relative ?Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Gains en force(16 sem)**Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Gains en force(24 sem)*Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Gains de forceLesfemmes gagnent autant sinon plus de force relative que les hommesLes femmes gagnent plus rapidement en forceLes femmes plafonnent généralement après 3-5mois d’entraînement (force)Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Quelques erreurs potentiellesSynemorphose2010 © Tousdroitsréservés
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    Orientation & PerceptionFemmesDifficilementorientées vers un entraînement RÉEL en forceLeurs différences en force et composition corporelle peuvent partiellement découler d’une perception et prescription erronéeHommesRarement orientés vers du développement moteur et de la coordination motricePourraient bénéficier d’une meilleure rentabilité musculaireSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 35.
    Pour l’égalité dessexesÀ éviter pour les femmesMiser trop souvent sur des exercices spécifiquesPas assez de charges, trop de répétitionsTrop d’entraînement aérobie pas assez de musculationCraintes et peurs injustifiées de la musculation et de la forceSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Pour l’égalité dessexesÀ éviter pour les hommesMiser trop souvent sur l’hypertrophie sans développer le recrutement neuromusculaireNégliger la flexibilité (diminution de la force et de la puissance)Négliger la coordination motriceSynemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
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    Questions ? Consulteznotre site: www.synemorphose.comOu visitez notre blogue:www.drkin.comSynemorphose 2010 © Tous droits réservés
  • 38.
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  • 39.
    Références11. Stefani, R.T., Therelative power output and relative lean body mass of World and Olympic male and female champions with implications for genderequity. J Sports Sci, 2006. 24(12): p. 1329-39.12. Harms, C.A., Doesgender affect pulmonaryfunction and exercisecapacity?RespirPhysiolNeurobiol, 2006. 151(2-3): p. 124-31.13. Perreault, L., et al., Genderdifferences in insulin action after a single bout of exercise. J ApplPhysiol, 2004. 97(3): p. 1013-21.14. Charkoudian, N. and M.J. Joyner, Physiologicconsiderations for exercise performance in women. Clin Chest Med, 2004. 25(2): p. 247-55.15. Nielsen, S., et al., Energyexpenditure, sex, and endogenous fuel availability in humans. J Clin Invest, 2003. 111(7): p. 981-8.16. Deschenes, M.R. and W.J. Kraemer, Performance and physiologic adaptations to resistance training. Am J Phys Med Rehabil, 2002. 81(11 Suppl): p. S3-16.17. Doherty, T.J., The influence of aging and sex on skeletal muscle mass and strength.CurrOpin Clin NutrMetab Care, 2001. 4(6): p. 503-8.18. Braun, B. and T. Horton, Endocrine regulation of exercisesubstrateutilization in womencompared to men.Exerc Sport SciRev, 2001. 29(4): p. 149-54.19. Blaak, E., Genderdifferences in fat metabolism.CurrOpin Clin NutrMetab Care, 2001. 4(6): p. 499-502.20. Goris, A.H. and K.R. Westerterp, Postabsorptiverespiratory quotient and food quotient-an analysis in lean and obese men and women.Eur J Clin Nutr, 2000. 54(7): p. 546-50.Synemorphose 2010 © Tousdroitsréservés
  • 40.
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