L'étude analyse les épaisseurs d'isolation optimales pour les bâtiments d'habitation en minimisant l'impact environnemental, indiquant qu'une épaisseur entre 25 et 30 cm est écologiquement idéale. Elle souligne que sur-isoler avec des matériaux comme la laine minérale est peu problématique, tandis qu'une isolation insuffisante engendre des impacts écologiques plus significatifs. Les résultats varient en fonction de divers facteurs tels que le lieu, le type de chauffage et le mix énergétique.