. Le web 2.0 Formation Urfist Rennes 15 mai 2007
Plan de l’intervention 1. Historique et analyse du phénomène. 2. Personnalisation de l’information
1.L’histoire. Début été 2004 Craig Cline de MediaLive Le journaliste John Batelle (wired magazine) Dale Dougherty,  membre de l’équipe de Tim O’Reilly.
Selon O’reilly
Tableau du passage.
Tableau O’reilly du passage Tagging Directories Wikis Content Management Systems participation des utilisateurs Publication webmaster Web Services Screen scraping Cost per click Page Views Blog Site personnel Wikipedia Britannica Online Napster MP3.com BitTorrent Akamai Flickr Ofoto Google adSense Doubleclick Application Web 2.0 Application Web 1.0
Concept? Mot-valise, auberge espagnole Etat d’esprit Phénomène Effet de mode Stratégie marketing Tentative de formaliser des évolutions
Révolution ou évolution? Les mots de révolution sont parfois employés par des sites dit web 2.0 et même des anciens comme pour yahoo et msn qui qualifient ainsi leur nouveau système de messagerie et messagerie instantanée : Abus de langage. ZDNet.fr:  Quelle est votre définition du web 2.0?   Tariq Krim:  Le web 2.0, c'est un retour aux fondamentaux de l'internet: remettre l'utilisateur au centre de l'internet, lui faciliter ses relations avec les services et les autres utilisateurs, lui permettre de gagner du temps en allant à l'essentiel. C'est aussi un retour à la course à l'innovation dans les services et dans les outils internet qui s'était arrêtée après la "bulle". Source : http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39330539,00.htm
Définition : ce qu’il n’est pas Qu'est-ce que le web 2.0 n'est pas ? ce n'est pas une norme  établie par un organisme tel que le W3C ou l'IETF (même si :  http://web2.0validator.com/) ce n'est pas un label  décerné selon des critères précis par un organisme  ce n'est pas une méthode de travail  dont les grands principes seraient définis (comme l'approche MVC en programmation par exemple)  Source : http://w3qc.org/presentations/20060130/
Le retour des mythes
 
Quelles technologies? Des techniques fonctionnelles : HTML et notamment XHTML qui sont des protocoles déjà fort anciens. Les feuilles de style basé sur la recommandation CSS dont la CSS 2.0 date de 1998. Les codes « Javascript »  que Netscape  a intégré à son navigateur en 1995. XML dont la recommandation a été publiée en 1998. Les possibilités de syndication ATOM et RSS qui a également été crée par Netscape en 1999. Le protocole http dont la dernière version date de 1999 en attendant IPv6 Les identifiants universels URI Rest (representational state transfer) qui remonte à 2000 Services web.  API. SQL crée à la fin des années 1970.
 
Autres mots-clés L’Ajax. API (Application Program Interface) Mashups (mixage)
Quelles visions? La vision commerciale La vision ésotérique L’absence de vision, le mémétisme.
Le buzz marketing Le web 2.0 est –il un buzz marketing? Les sites de vote et de popularité permettent de suivre les « buzz » Viral marketing Agence de pub : http://www.culture-buzz.com/
Quel modèle économique? Le rachat? Ex : flick, youtube La revente de données. La publicité contextuelle. (google adwords) La publicité via l’audience. Services en plus payants.(site d’hébergement de données, plateformes enrichies,etc.)
Le côté obscur
Nihil novi sub sole? Contre discours. Evolution Réflexions sur le site deuxzero.com : www.deuxzero.com
Une courte définition Si on perçoit le web 2.0 de manière positive : Mettre l’usager au centre et notamment au  centre de  l’information.  En ce sens le web 2.0 va dans le sens d’un système d’information orientée usager et pas seulement axé sur le contenu et les gestionnaires de l’information. Cf. le coadic
Quels changements? Personnalisation de l’information. (+ veille) Production personnelle de contenus. « Indépendance »? grandissante  vis-à-vis des médias traditionnels. Remise en cause des autorités et nouvelles légitimités : popularité et autoritativité. (cf. GDE et articles sur archivesic)  Augmentation du flux de données d’où infoabondance ou infopollution. L’accessibilité.
2. Exemples. 2.1 Personnalisation de l’information : Pages perso, RSS, etc. 2.2 Rechercher via la blogosphère. 2.3 Les folksonomies. 2.4 Stockage et bureautique en ligne.
2.1 La personnalisation de l’info But : sélectionner ses sources intéressantes et pertinentes : stratégie de veille. Les termes : veille, pages persos, agrégateurs, RSS, Atom La « sérendipité organisée. »
Les flux rss, atom Syndication de contenus Permet une veille active plus performante que les signets.
Définition « Un  flux RSS  ou  fil RSS  ("RSS Feed" en anglais), sigle de  Really Simple Syndication  ( syndication vraiment simple ), ou de  Rich Site Summary  (Sommaire d'un site enrichi) est un  format  de  syndication  de contenu Web » La  syndication  en RSS consiste à accéder, reproduire ou diffuser un contenu Source :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Really_Simple_Syndication RSS | Introduction
Le Format XML :  Extensible Markup Language « L'objectif initial de XML est de faciliter le partage de textes et d'informations structurées, par exemple au travers de l'Internet, en séparant le contenu (les données) du contenant (la présentation des données). » Source :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Really_Simple_Syndication RSS | Introduction
D’autres formats ATOM basé sur xml http://fr.wikipedia.org/wiki/Atom
Le Format RSS | Introduction http://www.lemonde.fr/rss/sequence/0,2-3224,1-0,0.xml Description du flux en lui même Description de chaque information (item)
Les agrégateurs. Définition de wikipédia : Un  agrégateur  est un logiciel permettant de suivre un ou plusieurs fils de  syndication , le plus souvent dans les formats  RSS  ou  Atom . Les autres formats existant sont  RDF ,  CDF ,  OCS ,  OPML  et le  podcasting . Il existe plusieurs types d'agrégateurs.
Les différents agrégateurs Les agrégateurs "simples" rapatrient les fils sur l'ordinateur de l'utilisateur.  les agrégateurs en ligne permettent de suivre une liste personnelle de fils même lorsque l'on n'utilise pas son propre ordinateur.  les agrégateurs intégrés dans certains navigateurs ou clients de messagerie.  les agrégateurs pour serveurs permettent de rendre les fils consultables par d'autres moyens (web, messagerie, etc.)
« Les pages perso » ou PAP (pages d'accueil personnalisées)  Un type particulier d’agrégateur. Plusieurs types de contenus. « Guichet unique. » Centralisation sur les désirs de l’usager. Veille active. Critiques : autarcie.
 
 
 
2.2 recherche via les blogs. Une production de contenus en perpétuelle progression quantitativement. Des moteurs spécialisés. News (google news et wikio) Des moteurs pour les blogs : un point d’accès la blogbar
 
2.4 stockage et autres Bureautique en ligne. Stockage en ligne. Permet de collaborer sur un même document. Partager des documents.
Writely devenu http://docs.google.com/
Exemple : box.net
Box.net/lite Sans enregistrement à la façon de imagehack.us. http://www.box.net/lite :
Videos en ligne et podcasts Youtube Dailymotion Podemus . Google video. Permet la recherche par tags et l’inclusion de vidéos au sein des blogs.
Panorama en ligne Slideshare . http:// www.slideshare.net / oledeuff
 
Tableau de fred cavazza

Web2.0urfist

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    . Le web2.0 Formation Urfist Rennes 15 mai 2007
  • 2.
    Plan de l’intervention1. Historique et analyse du phénomène. 2. Personnalisation de l’information
  • 3.
    1.L’histoire. Début été2004 Craig Cline de MediaLive Le journaliste John Batelle (wired magazine) Dale Dougherty, membre de l’équipe de Tim O’Reilly.
  • 4.
  • 5.
  • 6.
    Tableau O’reilly dupassage Tagging Directories Wikis Content Management Systems participation des utilisateurs Publication webmaster Web Services Screen scraping Cost per click Page Views Blog Site personnel Wikipedia Britannica Online Napster MP3.com BitTorrent Akamai Flickr Ofoto Google adSense Doubleclick Application Web 2.0 Application Web 1.0
  • 7.
    Concept? Mot-valise, aubergeespagnole Etat d’esprit Phénomène Effet de mode Stratégie marketing Tentative de formaliser des évolutions
  • 8.
    Révolution ou évolution?Les mots de révolution sont parfois employés par des sites dit web 2.0 et même des anciens comme pour yahoo et msn qui qualifient ainsi leur nouveau système de messagerie et messagerie instantanée : Abus de langage. ZDNet.fr: Quelle est votre définition du web 2.0? Tariq Krim: Le web 2.0, c'est un retour aux fondamentaux de l'internet: remettre l'utilisateur au centre de l'internet, lui faciliter ses relations avec les services et les autres utilisateurs, lui permettre de gagner du temps en allant à l'essentiel. C'est aussi un retour à la course à l'innovation dans les services et dans les outils internet qui s'était arrêtée après la "bulle". Source : http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39330539,00.htm
  • 9.
    Définition : cequ’il n’est pas Qu'est-ce que le web 2.0 n'est pas ? ce n'est pas une norme établie par un organisme tel que le W3C ou l'IETF (même si : http://web2.0validator.com/) ce n'est pas un label décerné selon des critères précis par un organisme ce n'est pas une méthode de travail dont les grands principes seraient définis (comme l'approche MVC en programmation par exemple) Source : http://w3qc.org/presentations/20060130/
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    Quelles technologies? Destechniques fonctionnelles : HTML et notamment XHTML qui sont des protocoles déjà fort anciens. Les feuilles de style basé sur la recommandation CSS dont la CSS 2.0 date de 1998. Les codes « Javascript » que Netscape a intégré à son navigateur en 1995. XML dont la recommandation a été publiée en 1998. Les possibilités de syndication ATOM et RSS qui a également été crée par Netscape en 1999. Le protocole http dont la dernière version date de 1999 en attendant IPv6 Les identifiants universels URI Rest (representational state transfer) qui remonte à 2000 Services web. API. SQL crée à la fin des années 1970.
  • 13.
  • 14.
    Autres mots-clés L’Ajax.API (Application Program Interface) Mashups (mixage)
  • 15.
    Quelles visions? Lavision commerciale La vision ésotérique L’absence de vision, le mémétisme.
  • 16.
    Le buzz marketingLe web 2.0 est –il un buzz marketing? Les sites de vote et de popularité permettent de suivre les « buzz » Viral marketing Agence de pub : http://www.culture-buzz.com/
  • 17.
    Quel modèle économique?Le rachat? Ex : flick, youtube La revente de données. La publicité contextuelle. (google adwords) La publicité via l’audience. Services en plus payants.(site d’hébergement de données, plateformes enrichies,etc.)
  • 18.
  • 19.
    Nihil novi subsole? Contre discours. Evolution Réflexions sur le site deuxzero.com : www.deuxzero.com
  • 20.
    Une courte définitionSi on perçoit le web 2.0 de manière positive : Mettre l’usager au centre et notamment au centre de l’information. En ce sens le web 2.0 va dans le sens d’un système d’information orientée usager et pas seulement axé sur le contenu et les gestionnaires de l’information. Cf. le coadic
  • 21.
    Quels changements? Personnalisationde l’information. (+ veille) Production personnelle de contenus. « Indépendance »? grandissante vis-à-vis des médias traditionnels. Remise en cause des autorités et nouvelles légitimités : popularité et autoritativité. (cf. GDE et articles sur archivesic) Augmentation du flux de données d’où infoabondance ou infopollution. L’accessibilité.
  • 22.
    2. Exemples. 2.1Personnalisation de l’information : Pages perso, RSS, etc. 2.2 Rechercher via la blogosphère. 2.3 Les folksonomies. 2.4 Stockage et bureautique en ligne.
  • 23.
    2.1 La personnalisationde l’info But : sélectionner ses sources intéressantes et pertinentes : stratégie de veille. Les termes : veille, pages persos, agrégateurs, RSS, Atom La « sérendipité organisée. »
  • 24.
    Les flux rss,atom Syndication de contenus Permet une veille active plus performante que les signets.
  • 25.
    Définition « Un flux RSS ou fil RSS ("RSS Feed" en anglais), sigle de Really Simple Syndication ( syndication vraiment simple ), ou de Rich Site Summary (Sommaire d'un site enrichi) est un format de syndication de contenu Web » La syndication en RSS consiste à accéder, reproduire ou diffuser un contenu Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Really_Simple_Syndication RSS | Introduction
  • 26.
    Le Format XML: Extensible Markup Language « L'objectif initial de XML est de faciliter le partage de textes et d'informations structurées, par exemple au travers de l'Internet, en séparant le contenu (les données) du contenant (la présentation des données). » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Really_Simple_Syndication RSS | Introduction
  • 27.
    D’autres formats ATOMbasé sur xml http://fr.wikipedia.org/wiki/Atom
  • 28.
    Le Format RSS| Introduction http://www.lemonde.fr/rss/sequence/0,2-3224,1-0,0.xml Description du flux en lui même Description de chaque information (item)
  • 29.
    Les agrégateurs. Définitionde wikipédia : Un agrégateur est un logiciel permettant de suivre un ou plusieurs fils de syndication , le plus souvent dans les formats RSS ou Atom . Les autres formats existant sont RDF , CDF , OCS , OPML et le podcasting . Il existe plusieurs types d'agrégateurs.
  • 30.
    Les différents agrégateursLes agrégateurs "simples" rapatrient les fils sur l'ordinateur de l'utilisateur. les agrégateurs en ligne permettent de suivre une liste personnelle de fils même lorsque l'on n'utilise pas son propre ordinateur. les agrégateurs intégrés dans certains navigateurs ou clients de messagerie. les agrégateurs pour serveurs permettent de rendre les fils consultables par d'autres moyens (web, messagerie, etc.)
  • 31.
    « Les pages perso »ou PAP (pages d'accueil personnalisées) Un type particulier d’agrégateur. Plusieurs types de contenus. « Guichet unique. » Centralisation sur les désirs de l’usager. Veille active. Critiques : autarcie.
  • 32.
  • 33.
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    2.2 recherche viales blogs. Une production de contenus en perpétuelle progression quantitativement. Des moteurs spécialisés. News (google news et wikio) Des moteurs pour les blogs : un point d’accès la blogbar
  • 36.
  • 37.
    2.4 stockage etautres Bureautique en ligne. Stockage en ligne. Permet de collaborer sur un même document. Partager des documents.
  • 38.
  • 39.
  • 40.
    Box.net/lite Sans enregistrementà la façon de imagehack.us. http://www.box.net/lite :
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    Videos en ligneet podcasts Youtube Dailymotion Podemus . Google video. Permet la recherche par tags et l’inclusion de vidéos au sein des blogs.
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    Panorama en ligneSlideshare . http:// www.slideshare.net / oledeuff
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