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Cambriolage au Louvre : sa présidente reconnaît des « faiblesses » dans le système de surveillance extérieure, mais rappelle le « sous-investissement chronique en matière d’infrastructure »
Lors d’une audition au Sénat, Laurence des Cars a déclaré qu’aucune caméra ne couvrait le balcon de la galerie d’Apollon, où sont passés les braqueurs. Elle a affirmé qu’il n’y avait « pas de retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation du musée.
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Ce qu’il faut retenir de l’audition au Sénat de la présidente du Louvre, Laurence des Cars
- La présidente-directrice du Louvre, Laurence des Cars, a affirmé que le vol commis dimanche matin dans la galerie d’Apollon « n’est pas une fatalité », tout en rappelant avoir, depuis 2021, alerté sur « l’état de dégradation et d’obsolescence générale du Louvre ».
- Elle a souligné que l’infrastructure vieillissante du musée empêchait d’y intégrer des systèmes de sécurité modernes, contrairement au Musée d’Orsay, qu’elle a jugé « beaucoup plus moderne ».
- Concernant le fonctionnement des dispositifs, Laurence des Cars a assuré que « toutes les alarmes ont fonctionné » et que « les vidéos ont fonctionné à l’intérieur » du musée. En revanche, elle a reconnu que la surveillance extérieure restait « notre faiblesse », ajoutant que « l’arrivée des voleurs n’a pas été repérée suffisamment à l’avance ».
- La présidente du musée a par ailleurs réfuté tout « retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation, contestant les observations de la Cour des comptes.
- Enfin, elle a confirmé avoir présenté sa démission, « refusée » par la ministre de la culture, et souhaite solliciter le ministère de l’intérieur pour étudier la possibilité d’installer un commissariat de police au sein du musée.
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François Chatillon, architecte en chef au Louvre : « On ne va pas mettre des portes et des fenêtres blindées partout parce qu’il y a eu ce cambriolage »
Une restauration de la couronne d’Eugénie « délicate mais possible », estime Laurence des Cars
La patronne du Louvre a estimé qu’une restauration de la précieuse couronne de l’impératrice que les cambrioleurs du musée ont laissé échapper dimanche dans leur fuite, est « délicate » mais « possible », selon ce que laissent entendre « les premiers constats », même s’il faut « évidemment être encore assez prudent ».
La couronne « a été effectivement assez endommagée, pas par la chute, mais probablement par l’extraction de la vitrine », a-t-elle précisé.
Laurence des Cars a insisté sur le fait que « le verre des deux vitrines de haute sécurité ne s’est pas brisé ni délité. A l’aide de leurs instruments lourds [des disqueuses], les malfaiteurs ont créé des brèches au travers desquelles ils ont pu passer leurs mains ».
La couronne « a été effectivement assez endommagée, pas par la chute, mais probablement par l’extraction de la vitrine », a-t-elle précisé.
Elle a réaffirmé que « les vitrines installées en décembre 2019 représentaient un progrès considérable en termes de sécurité » et étaient pensés pour « une attaque par arme », « et non pas les matériaux lourds qui ont été utilisés ».
« Les faiblesses de notre protection périmétrique sont connues et identifiées », selon Laurence des Cars
« Les faiblesses de notre protection périmétrique sont connues et identifiées », a reconnu la présidente-directrice du Louvre. Lors du déroulé de son audition, Laurence des Cars a par ailleurs évoqué des mesures, à plus long terme, dans le plan de sécurisation du musée, appelé « schéma directeur des équipements de sûreté ».
Elle a mentionné en ce sens un doublement du « nombre de caméras sur les 37 hectares du domaine du Louvre » et une modernisation du « système de vidéoprotection et de détection des intrusions ».
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La présidente-directrice du Louvre confirme avoir présenté sa démission, qui a été refusée
« Dimanche dernier, après avoir constaté, aux côtés de la ministre de la culture et du ministre de l’intérieur, les conséquences de la terrible attaque que nous venions de subir, j’ai présenté à la ministre de la culture en responsabilité ma démission. Elle l’a refusée », a confirmé Laurence des Cars devant la commission des affaires culturelles du Sénat.
« Il y a eu beaucoup de dérives dans la presse ces jours-ci et des attaques personnelles qui me meurtrissent », a-t-elle par ailleurs déclaré, en référence à des accusations de « dépenses inconsidérées », en particulier pour des travaux de salle à manger, évoquées par Le Canard enchaîné. « Cette salle de réunion n’est pas réservée à l’usage exclusif de la présidence du Louvre, elle n’est en aucun cas ma salle à manger personnelle », a-t-elle affirmé.
Laurence des Cars a affirmé qu’elle avait « décidé de ne pas occuper l’appartement de fonction » alloué à la présidence du musée, qui a été réaffecté à une résidence d’artiste. « Je suis une fonctionnaire » et « je crois servir mon pays et la culture du mieux que je peux », a-t-elle ajouté.
Laurence des Cars pointe « un sous-investissement chronique en matière d’équipement et d’infrastructure au Louvre »
« Je le redis, le système de sécurité (…) dans la galerie d’Apollon a parfaitement fonctionné », a répété la présidente du musée devant des sénateurs. Toutefois, Laurence des Cars a estimé que la question qui se posait était celle de « l’adaptation de ce système de sécurité à un nouveau type d’attaques, à de nouveaux modes opératoires, qui n’avaient pas été envisagés et auxquels il faut que nous réagissions ».
Laurence des Cars a fait référence à « un intérêt actuel pour les objets précieux, les métaux, les pierres précieuses » et des attaques « qui rejoignent complètement, dans leur mode opératoire, celles du grand banditisme ».
« Il y a deux ans, la préoccupation principale du Louvre était d’anticiper des actions d’activistes généralement liées à la question climatique (…) qui jetaient de la peinture, de la soupe sur des tableaux », a développé Laurence des Cars, pointant par ailleurs « un sous-investissement chronique en matière d’équipement et d’infrastructure au Louvre ».
« Il n’y a pas de retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation du musée, assure Laurence des Cars
« Je tiens à le dire, il n’y a pas de retard dans la mise en œuvre du schéma directeur de sûreté du Louvre », chiffré à 80 millions d’euros, a déclaré Laurence des Cars. « Je m’inscris en faux sur les éléments qui sont dans le prérapport de la Cour des comptes. »
La Cour des comptes, qui s’est penchée sur la période comprise entre 2019 et 2024, parle d’un « retard persistant » dans ce domaine.
« Nous avons une infrastructure vieillissante qui ne permet pas de greffer des équipements modernes et de toute dernière génération, en matière notamment de vidéo et de détection sur une infrastructure qui ne la supporte tout simplement pas », a cependant ajouté la présidente du Louvre, mettant en perspective l’obsolescence des équipements du Louvre avec ceux du Musée d’Orsay, « beaucoup plus modernes ».
« Les alarmes et les vidéos du Louvre ont fonctionné », affirme Laurence des Cars
Après avoir rappelé le déroulé des faits, comme nous le rapportions dans cet article, la présidente du Louvre a confirmé que « les alarmes et les vidéos du Louvre ont fonctionné ».
« Mais nous n’avons pas repéré suffisamment à l’avance l’arrivée des voleurs », a toutefois reconnu Laurence des Cars. « A ce jour, il n’y a pas de caméra périmétrique, il y a quelques caméras périmétriques, mais qui sont vieillissantes », a-t-elle poursuivi.
« Le parc des installations ne couvre pas l’ensemble des façades du Louvre. Très clairement et malheureusement, du côté de la galerie d’Apollon, la seule caméra qui est posée l’est en direction de l’ouest et donc ne couvre pas le balcon concerné par l’effraction. »
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La directrice du Louvre demande l’installation d’un « commissariat de police au sein du musée »
Laurence des Cars a poursuivi son audition en présentant les premières mesures « qui pourront être prises dès aujourd’hui et sur le temps plus long » pour prémunir le Louvre contre une future agression.
« La sécurisation des abords immédiats du Louvre » serait, selon elle, une première mesure utile « pouvant être mise en place à court terme ». « Je pense par exemple à des dispositifs de mise à distance empêchant que des véhicules ne se garent » à proximité immédiate du bâtiment, a-t-elle déclaré.
Laurence des Cars a aussi souhaité solliciter le ministère de l’intérieur pour étudier la possibilité de l’installation d’un « commissariat de police au sein du musée ». « Notre musée reçoit 30 000 visiteurs par jour, 2 300 personnes y travaillent au quotidien. Il est une ville dans la ville qui accueille déjà un détachement de la 43ᵉ compagnie de la brigade des sapeurs pompiers de Paris », a-t-elle justifié.
Laurence des Cars : « Ce vol n’est pas une fatalité »
Selon la présidente-directrice du Louvre, ce vol « n’est pas une fatalité ». « Je n’ai cessé, depuis ma prise de fonction en septembre 2021, d’attirer l’attention (…) sur l’état de dégradation et d’obsolescence générale du Louvre », a-t-elle rappelé, avant de souligner que les agents du musée « ne sont pas armés ».
« Quatre d’entre eux étaient présents au moment des faits dans la galerie d’Apollon. Ils ont suivi avec réactivité, exactitude et sang-froid le protocole de sécurité, alerté les services de police, sécurisé le périmètre et évacué dans le calme les visiteurs (…) Grâce à leur professionnalisme, personne n’a été blessé », a pointé Laurence des Cars, qui a également « salué l’intervention des agents [du] prestataire Securitas qui ont poursuivi aux côtés des agents du Louvre, les malfaiteurs aux abords du musée ».
Laurence des Cars : « Les musées ne sont pas et ne seront jamais des forteresses, ils sont, par nature, ouverts »
A l’ouverture de son audition par la commission des affaires culturelles du Sénat, présidée par le centriste Laurent Lafon, Laurence des Cars déclaré en préambule de son audition que « dimanche s’est produit ce que tous les professionnels des musées redoutent matin, midi et soir : le vol des œuvres dont nous assurons la protection ».
Laurence des Cars a expliqué tenir à « rétablir des vérités » et a exprimé sa « reconnaissance à la représentation nationale » qui l’autorise aujourd’hui « à apporter des éclairages objectifs et fondés sur la sûreté des collections que le Louvre abrite ».
« Les musées ne sont pas et ne seront jamais des forteresses », a rappelé la présidente du Louvre. « Ils sont, par nature, ouverts. Ils sont des lieux de découverte, d’apprentissage et de plaisir. Le Musée du Louvre accueille 9 millions de visiteurs par an. Cette complexité est au cœur de notre travail. »
Ce vol est « une blessure immense », a dit Laurence des Cars, assurant qu’il ne s’agissait pas pour elle de se « dérober ou d’adopter une position de déni ». « Malgré nos efforts, malgré notre travail acharné au quotidien, nous avons été mis en échec », a-t-elle reconnu.
Audition de Laurence des Cars au Sénat à partir de 16 h 30
Sous pression depuis le cambriolage dimanche, la présidente-directrice du Louvre s’exprime à partir de 16 h 30 devant la commission de la culture du Sénat pour tenter d’expliquer comment des cambrioleurs ont pu voler des joyaux dans le musée le plus visité au monde, pour un préjudice estimé à 88 millions d’euros.
Cette séance représente un moment de vérité pour celle qui était devenue en mai 2021 la première femme à accéder à la tête du Musée du Louvre, avec neuf millions de visiteurs en 2024, dont 80 % d’étrangers. Devant la polémique, Mme des Cars a présenté sa démission au ministère de la culture et à l’Elysée, qui a été refusée.
Elle devrait notamment être interrogée sur les conditions de sécurité de la galerie d’Apollon. Elle devrait aussi être questionnée sur le prérapport de la Cour des comptes qui déplore un « retard dans le déploiement d’équipements destinés à assurer la protection des œuvres » du musée.
L’enquête progresse, a dit hier la procureure, « les expertises sont en cours »
Interrogée mardi soir sur RTL, la procureure de Paris Laure Beccuau a déclaré « attendre avec intérêt de savoir si, selon le jargon policier », les empreintes retrouvées « vont matcher ou pas » : « Elles sont en cours d’analyse. »
Mme Beccuau a aussi confirmé le chiffre de « quatre personnes identifiées comme étant présentes sur les lieux », tout en expliquant s’attendre à ce qu’« autour d’eux » il y ait « tout un tas d’équipes » qui les ait « aidés à perpétrer ce vol ». Interrogée ensuite sur l’existence d’éventuelles complicités internes au sein du musée le plus visité au monde, la procureure a répondu ne pas pouvoir « répondre par oui ou par non » à ce stade.
Laure Beccuau a, par ailleurs, affirmé que le véhicule-nacelle qui a servi à commettre le vol a été obtenu par les malfaiteurs par « une pseudo-location pour un prétendu déménagement ». « Lorsque l’un des employés de cette entreprise se présentait sur les lieux du déménagement, il s’est trouvé confronté à deux hommes menaçants mais qui n’ont usé à son encontre d’aucune violence », a-t-elle ajouté, évoquant un dépôt de plainte.
D’après elle, outre les magistrats de la juridiction interrégionale spécialisée du parquet de Paris qui dirigent les investigations, « une centaine » d’enquêteurs sont mobilisés à Paris sur ce dossier.
Fin du tchat
Le tchat avec Roxana Azimi et Laurent Telo est terminé. Merci à toutes et à tous pour vos très nombreuses questions !
Bonjour Ajaxio,
C’est un cambriolage qui, au-delà de la préciosité des pièces volées (la conservatrice du Louvre estime les joyaux dérobés à 88 millions d’euros, sans tenir compte de leur valeur patrimoniale), est hautement symbolique.
Même si certains partis politiques « récupèrent » un peu grossièrement ce cambriolage pour s’indigner d’une inexcusable atteinte à la France, cela s’est quand même produit dans le musée le plus visité du monde, avec 9 millions de visiteurs, qui est aussi un lieu symbolique de notre pays.
Le retentissement est d’ailleurs mondial. Ce n’est pas un vol « banal »… Ce cambriolage pose également la question de la viabilité de la sécurité de tous les musées français. D’où l’audition, précipitée, de Laurence des Cars devant les sénateurs.
Bonjour, vous évoquiez des tensions entre Laurence des Cars et les syndicats. Quelles en sont les raisons ?
Bonjour,
Les syndicats trouvent le comportement de Laurence des Cars trop abrupt, pas assez amical. Ils contestent son management centré sur un cabinet resserré, à la manière d’un ministère. Mais les syndicats estiment surtout qu’elle ne répond pas à leurs préoccupations de fond, à savoir les conditions de travail dégradées.
Les agents subissent des pressions quotidiennes, notamment des violences verbales et physiques de la part de certains visiteurs exaspérés par l’accueil. Récemment, une surveillante a été agressée dans la salle de la Joconde par un visiteur, qui a été exfiltré et conduit au commissariat.
Quels sont les grands musées étrangers qui ont choisi de conserver les vrais bijoux dans des coffres-forts et d'exposer des copies ? Pourquoi en sont-ils venus à cette option ?
Bonjour Oscar,
A notre connaissance, mais nous ne sommes pas omniscients, les musées exposent rarement des copies car les visiteurs, qui s’acquittent d’un droit d’entrée parfois prohibitif – 22 euros au Louvre –, souhaitent voir des œuvres authentiques, chargées d’histoire et porteuses d’aura, et non des reproductions.
Les joyaux de la Couronne restants dans la Galerie (couronne de Louis XV, diamant Régent) ont-ils été mis en sécurité depuis ?
Bonjour,
A notre connaissance, les autres pièces ont été mises en sécurité. La galerie d’Apollon est fermée pour le moment, l’espace sera à terme réaménagé.
Bonjour, que sait-on du déroulement des faits ? On entend tout et n'importe quoi. L'alarme a-t-elle sonné ? Combien il y avait-il de vigiles ? Les fenêtres étaient-elles blindées ou non ?
Bonjour,
Il est compliqué de répondre de manière précise et définitive. L’enquête est en cours ! Cinq agents étaient en poste dans la galerie d’Apollon au moment des faits ; l’un d’eux était en pause, selon nos informations.
La ministre de la culture, Rachida Dati, a exclu toute « faille de sécurité à l’intérieur » du musée, car les dispositifs « ont fonctionné ». C’est ce qu’elle a affirmé à l’Assemblée nationale, hier, lors de la séance des questions au gouvernement. Elle affirme donc que l’alarme s’est déclenchée normalement. De son côté, le Louvre prétend que les vitres qui donnent sur la rue, fracturées par les cambrioleurs, sont blindées…
Il est probable que ce sont des questions sensibles qui seront posées à Laurence des Cars à partir de 16 h 30 au Sénat.
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