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Le ministère de la défense russe a affirmé, dans un communiqué, que ses troupes se sont emparées de Bolohivka, dans l’oblast de Kharkiv, de Dronivka et de Promine, dans l’oblast de Donetsk, et de Perchotravneve, dans celui de Dnipropetrovsk.
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Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a été reçu vendredi matin par le roi Charles III au château de Windsor, avant une rencontre avec le premier ministre, Keir Starmer, et des alliés de l’Ukraine pour discuter notamment de livraisons d’armes de longue portée à Kiev.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui participe à cette réunion au lendemain du sommet européen à Bruxelles, a été reçu par le roi avec salut royal et inspection d’un bataillon de la garde royale. C’est la troisième fois cette année que le dirigeant ukrainien a une audience avec le monarque au Royaume-Uni.
M. Zelensky doit rejoindre ensuite dans l’après-midi Keir Starmer pour la rencontre de la coalition des volontaires – 26 pays essentiellement européens. La première ministre danoise, Mette Frederiksen, son homologue néerlandais, Dick Schoof, et le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, devaient se rendre à Londres, 20 autres dirigeants étant attendus en visioconférence, selon Downing Street.
Le chef du gouvernement travailliste, qui codirige cette coalition avec le président français, Emmanuel Macron, devrait appeler à « placer l’Ukraine dans la position la plus forte possible à l’approche de l’hiver » face aux forces russes, selon un communiqué de ses services.
La Banque centrale de Russie (BCR) a abaissé vendredi son taux directeur, à 16,5 %, à l’heure où la croissance russe est proche de zéro, dans une économie qui subit les conséquences de la guerre en Ukraine et des sanctions occidentales.
La BCR a également fait savoir que l’inflation resterait élevée plus longtemps que prévu dans le pays et que la croissance du produit intérieur brut (PIB) serait plus faible, suggérant que l’économie russe marque le pas après deux années d’expansion rapide alimentée par les dépenses militaires.
La police ukrainienne a fait savoir, dans un communiqué, que l’explosion s’était produite à 10 h 50 (9 h 50 à Paris) sur le quai de la gare d’Ovroutch, dans l’oblast de Jytomyr, dans le nord-ouest de l’Ukraine, et non dans un train, comme annoncé dans un premier temps.
Selon les premières informations, les gardes-frontières procédaient à un contrôle des papiers d’identité sur le quai de la gare quand un homme a sorti un engin explosif. Trois femmes, âgées de 29, 58 et 82 ans ont été tuées. Une garde-frontière figure parmi les victimes.
Originaire de Kharkiv et âgé de 23 ans, l’auteur des faits est mort dans l’ambulance. Selon RBK-Ukraine, il avait récemment été arrêté pour avoir tenté de franchir illégalement la frontière à l’ouest du pays. Douze personnes ont également été blessées dans l’explosion.
A Ovroutch, dans l’oblast de Jytomyr, à une cinquantaine de kilomètres au sud de la frontière avec la Biélorussie, un homme a fait exploser une grenade dans un train, vendredi. Quatre personnes ont été tuées et deux autres blessées, selon RBK-Ukraine, qui précise que, « selon les premières informations, l’homme était recherché par la police ».
Selon le journal Korosten Today, le suspect a dégoupillé sa grenade lors de son arrestation dans un train de banlieue.
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Le ministère de la défense russe a affirmé, dans un communiqué, que ses troupes se sont emparées du village de Bolohivka (📍) dans l’oblast de Kharkiv, de ceux de Dronivka (📍) et de Promine (📍) dans l’oblast de Donetsk et de celui de Perchotravneve (📍), dans l’oblast de Dnipropetrovsk.
L’armée russe a bombardé « au lance-roquettes multiple » des zones résidentielles de la ville de Kherson, dans le sud de l’Ukraine, vendredi matin, a affirmé vendredi le parquet régional ukrainien.
Cette attaque a tué au moins deux civils et fait 19 blessés, dont trois adolescents de 15, 16 et 17 ans, rapporte sur Telegram l’administration militaire de Kherson.
Depuis sa libération par Kiev en novembre 2022 après six mois d’occupation russe, la ville située au bord du Dniepr, qui marque la ligne de front dans ce secteur, est bombardée quasi quotidiennement par les forces russes.
La ministre de l’économie et de l’énergie allemande se rend vendredi en Ukraine pour évoquer l’aide que Berlin veut apporter pour mieux protéger l’infrastructure énergétique ukrainienne face à la recrudescence des bombardements russes à l’approche de l’hiver. Katherina Reiche a dénoncé ces attaques « ciblées contre la population civile », selon un communiqué qui explique que la visite vise à discuter de comment « soutenir mieux et plus concrètement » l’Ukraine.
Durant son déplacement, qui doit se prolonger jusqu’à dimanche, il sera question d’un soutien à l’entretien et aux réparations des infrastructures. La ministre discutera également de coopération dans l’industrie de défense, alors que l’Allemagne est le second fournisseur d’aide militaire à Kiev, derrière les Etats-Unis. Mme Reiche a également souligné que son pays « devait apprendre » de l’expérience ukrainienne.
Cent vingt-huit drones russes ont été lancés dans la nuit de jeudi sur l’Ukraine, annonce l’armée de l’air dans son rapport quotidien, depuis les directions de Koursk, de Millerovo, de Briansk, de Primorsko-Akhtarsk, ainsi que du cap Tchaouda et Hvardiïske – territoires de la Crimée, annexée en 2014. Environ 90 étaient de type Shahed, selon l’armée de l’air.
Cette dernière affirme avoir abattu ou neutralisé 72 drones de type Shahed, Guerbera « dans le nord, le sud et l’est du pays » et avoir enregistré 47 frappes de drones sur dix sites. « L’attaque est toujours en cours », prévient l’armée.
Condamné, jeudi à une amende pour « franchissement illégal de la frontière » russe – il avait tenté de se rendre à vélo de Chine en Russie via un poste-frontière franchissable uniquement en train ou en autocar – et libéré, le cycliste d’endurance français Sofiane Sehili a quitté la Russie pour se rendre en Thaïlande, d’où il s’envolera pour la France, rapporte vendredi l’agence TASS, ainsi que le média russe en exil Meduza, qui cite son avocate.
Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, Sofiane Sehili explique se trouver à l’aéroport de Vladivostok pour embarquer sur un vol à destination de Phuket, d’où il gagnera Paris, se dit « heureux et soulagé que tout cela se termine ». « Après cinquante jours en détention, c’est un dénouement heureux, celui que nous espérions », déclare-t-il.
Le sportif avait été arrêté au début de septembre en Extrême-Orient russe, censé être l’étape finale de son record du monde de la traversée eurasienne à vélo et avait été envoyé au centre de détention provisoire d’Oussouriïsk.
Cinq personnes, dont un enfant, ont été blessées dans une attaque nocturne de drone ukrainienne visant un immeuble résidentiel à Krasnogorsk, en banlieue de Moscou, ont fait savoir vendredi les autorités locales.
« Un drone ennemi a frappé dans la nuit un immeuble résidentiel », a écrit sur Telegram un responsable local, Dmitri Volkov, en précisant que l’attaque a visé le 14e étage du bâtiment. « Cinq personnes ont été blessées », parmi lesquelles quatre adultes et un garçon né en 2017, qui ont tous été hospitalisées, selon la même source.
« Un drone a pénétré dans un appartement situé au 14e étage », a précisé, pour sa part, le gouverneur de l’oblast de Moscou, Andreï Vorobiov, en publiant une photo du logement aux vitres brisées, murs déformés et meubles cassés.
Au total, le ministère de la défense russe a annoncé vendredi avoir neutralisé 111 drones ukrainiens au-dessus du territoire russe.
Le premier ministre belge, Bart De Wever, s’oppose au plan de la Commission, qui prévoyait d’utiliser les actifs russes immobilisés pour soutenir Kiev.
Le premier ministre britannique, Keir Starmer, entend appeler, vendredi, les pays membres de la « coalition des volontaires », groupe de pays qui soutiennent l’Ukraine, à « accroître le don d’armes à longue portée » à Kiev, au cours d’une réunion organisée par Londres en présence du président ukrainien, Volodymyr Zelensky.
Sont également attendus dans la capitale britannique la première ministre danoise, Mette Frederiksen, son homologue néerlandais, Dick Schoof, et le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, selon un communiqué des services de M. Starmer. Vingt autres dirigeants – dont le président français, Emmanuel Macron – doivent participer aux discussions en visioconférence, ajoute Downing Street.
Cette coalition des volontaires réunit 26 pays, essentiellement européens, et est codirigée par MM. Starmer et Macron. « Le premier ministre devrait appeler les dirigeants à placer l’Ukraine dans la position la plus forte possible à l’approche de l’hiver », ont expliqué ses services dans un communiqué.
Outre le renforcement des sanctions sur le pétrole russe, M. Starmer appellera ses partenaires à « achever le travail visant à utiliser les avoirs russes pour débloquer des milliards de livres afin de financer la défense ukrainienne et accroître le don de systèmes de longue portée » à l’Ukraine, selon Downing Street.
Les Européens fournissent déjà des missiles de longue portée aux Ukrainiens, notamment des Scalp français et des Storm Shadow britanniques, mais en petites quantités. L’Ukraine, qui produit également certains missiles de ce type (Flamingo, Neptune), a, en revanche, sans succès réclamé des missiles allemands Taurus. Et les Américains ont refusé jusqu’à présent de livrer les missiles Tomahawk que M. Zelensky espérait.
M. Starmer devrait, par ailleurs, annoncer « une accélération » d’un programme britannique de fabrication de missiles défensifs destiné à fournir à l’Ukraine plus de 5 000 engins de ce type. Quelque 140 de ces « missiles légers multirôles » devraient pouvoir être livrés cet hiver, selon le communiqué.
Bonsoir Dedale75,
La Belgique, où la plupart des avoirs russes gelés par les Européens sont conservés au sein de l’établissement financier Euroclear, redoute d’avoir à payer seule les pots cassés en cas de problème et veut qu’un mécanisme de solidarité crédible soit institué, lui donnant l’assurance que les autres pays de l’Union européenne, ou le budget de l’UE, se porteront garants d’un éventuel remboursement, si nécessaire.
« Je veux une mutualisation complète du risque », a ainsi averti le premier ministre belge, Bart De Wever, lors de son arrivée au sommet de Bruxelles, jeudi, soulignant qu’en cas de problème « les conséquences ne peuvent pas être uniquement pour la Belgique ». « Si l’argent doit être remboursé, [il faudra] que chaque Etat membre contribue », pour ne pas laisser la Belgique assumer seule ce risque, a-t-il ajouté.
Enfin, il exige que cette mobilisation des avoirs soit également mise en œuvre dans les autres pays alliés de Kiev. « Nous savons qu’il y a de vastes sommes d’argent russe dans d’autres pays qui ont toujours gardé le silence à ce sujet », a-t-il relevé.
Les relations entre la Corée du Nord et la Russie « atteignent désormais leur apogée historique », s’est réjoui le leader nord-coréen, Kim Jong-un alors que la construction d’un mémorial dédié à ses soldats morts au combat pour la Russie en Ukraine a commencé.
Le Musée commémoratif des exploits militaires verra le jour dans la capitale, Pyongyang, où Kim Jong-un et l’ambassadeur de Russie en Corée du Nord, Alexander Matsegora, ont assisté à une cérémonie d’inauguration, selon l’agence officielle KCNA. S’exprimant lors de l’événement tenu jeudi, M. Kim a décrit le musée comme « un sanctuaire sacré dédié à l’immortalité des vrais patriotes ».
La Russie et la Corée du Nord ont accru leur coopération militaire ces dernières années, les Nord-Coréens fournissant des armes et des troupes pour soutenir l’assaut russe contre l’Ukraine en cours depuis février 2022. Selon Séoul, au moins 600 soldats nord-coréens ont été tués et des milliers d’autres blessés depuis qu’ils ont été envoyés au combat, notamment pour reprendre l’oblast de Koursk, en Russie, conquise par l’Ukraine durant l’été 2024.
« Nos héros ont détruit les envahisseurs néonazis diaboliques grâce à leur détermination à ne tolérer aucune agression et à anéantir les agresseurs », a déclaré Kim Jong-un, en félicitant ses troupes, présentes depuis un an dans l’oblast de Koursk, pour avoir aidé la Russie à remporter une « victoire décisive ».
Le dirigeant nord-coréen a précisé que le mémorial comporterait des sculptures dédiées aux soldats nord-coréens qui ont combattu en Russie, ainsi que des photos et des œuvres d’art illustrant les combats.
A Moscou, une exposition artistique a été organisée pour célébrer les liens avec Pyongyang. Elle montre des soldats nord-coréens et leurs alliés russes résistant à un Occident hostile.
Pyongyang et Moscou sont liés par un accord de sécurité et de défense depuis 2024.
Le président de la République française s’est montré prudent concernant l’hypothèse d’utiliser, au profit de l’Ukraine, des avoirs russes gelés. « Cette solution pose des questions juridiques, des questions de partage du risque », a reconnu Emmanuel Macron, tout en soulignant qu’elle restait la piste la plus prometteuse pour aider financièrement l’Ukraine sur les années à venir.
Les avoirs de la Banque centrale russe dans l’Union européenne ont été immobilisés à la suite des sanctions décidées par les Occidentaux après l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022. Ils représentent quelque 210 milliards d’euros. La saisie pure et simple de ces avoirs est une ligne rouge pour les pays de l’UE, mais la Commission propose, grâce à ces derniers, de financer un prêt de 140 milliards d’euros à Kiev.
Le premier ministre belge, Bart De Wever, avait menacé, dès le début du sommet européen, de bloquer tout le processus s’il n’obtenait pas satisfaction. « Avoir une solide base légale n’est pas un luxe, a-t-il martelé à l’issue des discussions. Je ne suis que la petite Belgique, la seule chose que je peux faire est de mettre en lumière les problèmes et demander gentiment des solutions. » Selon un diplomate, plusieurs autres pays ont également exprimé des réserves.
Les dirigeants européens ont finalement demandé jeudi à la Commission d’explorer les moyens de financer l’Ukraine sur les deux années à venir, laissant la porte ouverte à la mise en place d’un prêt qui s’appuierait sur les avoirs russes gelés.
« La Russie doit retenir ceci : l’Ukraine aura les ressources financières dont elle a besoin pour se défendre contre l’agression russe », a lancé, de son côté, le président du Conseil de l’Union européenne, Antonio Costa.
Emmanuel Macron a estimé, jeudi soir, que les sanctions décidées par Donald Trump contre deux groupes pétroliers russes allaient « dans la bonne direction ».
« C’est un véritable tournant qui, combiné aux sanctions [européennes] que nous venons de prendre, à la pression qui a été mise aussi sur plusieurs autres acteurs, va porter ses effets », a déclaré le président français, lors d’une conférence de presse à l’issue d’un Conseil européen à Bruxelles.
« C’est un coup massif qui est porté au financement de l’effort de guerre de la Russie alors même que pour la première fois depuis le début de ce conflit, l’économie russe commence à souffrir bien davantage », a-t-il ajouté.
La Lituanie a demandé à la Russie d’« expliquer immédiatement » les raisons de la violation de son espace aérien, jeudi, et de prendre « toutes les mesures nécessaires pour éviter que de tels incidents ne se reproduisent à l’avenir », selon un communiqué du ministère des affaires étrangères lituanien.
« Dans la soirée du 23 octobre, le chargé d’affaires de l’ambassade de la Fédération de Russie en Lituanie a été convoqué (…), une note de protestation lui a été remise et une vive protestation a été émise concernant la violation de l’espace aérien lituanien », dit le texte.
De son côté, le ministère de la défense russe a démenti toute violation de l’espace aérien lituanien. « Les vols se sont déroulés dans le strict respect des règles d’utilisation de l’espace aérien au-dessus du territoire russe. Les avions n’ont pas dévié de leur route et n’ont pas violé les frontières d’autres Etats », a-t-il écrit sur Telegram.
Volodymyr Zelensky a salué les « bons résultats » du sommet des dirigeants de l’Union européenne (UE) consacré à l’Ukraine.
« Nous avons obtenu un soutien politique concernant les avoirs russes gelés et leur utilisation maximale pour la défense contre l’agression russe », a affirmé le président ukrainien dans une publication sur X, quand bien même l’accord auquel les leaders européens sont parvenus est plus ambigu que cela.
Se réjouissant du 19e paquet de sanctions de l’UE envers la Russie, M. Zelensky a également jugé « la décision américaine de sanctions visant les compagnies pétrolières russes (…) très efficace ».
« Il est important que toute l’Europe soutienne la politique de restriction des approvisionnements russes », ajoute-t-il.
« L’Ukraine affirme depuis longtemps que des sanctions économiques fortes et à long terme sont la clé pour mettre fin à cette guerre », conclut le président ukrainien.
Alors qu’un sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine devrait se tenir prochainement et pourrait déboucher sur la résolution du conflit ukrainien, les pays européens ne « devr[aient] pas mener de négociations substantielles sur la question ukrainienne aujourd’hui », a déclaré le premier ministre hongrois, Viktor Obran, en marge d’une réunion des Vingt-Sept à Bruxelles.
« Nous ne devons prendre aucune décision pour l’instant, afin de ne pas réduire les chances d’un accord entre la Russie et les Etats-Unis », a-t-il fait valoir, cité par les agences de presse russes, appelant par ailleurs l’UE à « entamer de manière indépendante des négociations avec la Russie ».
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