Reportages

« La guerre peut tout détruire chez une personne, mais elle ne peut pas tuer les valeurs et l’espoir. Les Syriens sont un peuple naturellement heureux et nous aspirons à vivre dans un esprit de générosité et d’hospitalité ». C’est avec ces mots que Tareq Hadhad a décrit à ONU Info le parcours difficile que sa famille a effectué depuis la capitale syrienne jusqu’à la ville isolée d’Antigonish, au Canada.

Les groupes armés en Haïti infligent des « horreurs inimaginables » aux enfants et  transforment leurs « corps en champs de bataille », dénonce le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF).

De ce jour-là, Zeinaba Mahr Aouad ne garde en mémoire que des fragments. Le temps et le traumatisme ont effacé le reste.

Des migrants qui ont été expulsés de la République dominicaine vers Haïti, deux pays des Caraïbes qui partagent l'île d'Hispaniola, ont parlé à l'ONU des défis que représente le retour dans un pays en crise qu'ils connaissent à peine.

Edwige, 32 ans, mère de deux enfants, est une fidèle auditrice de la Radio mère-enfant de Lakota, dans le sud-ouest de la Côte d’Ivoire. Chaque matin, avant de se rendre à son magasin de produits cosmétiques, elle suit attentivement les émissions matinales. C’est là qu’elle a entendu parler du mpox (variole simienne) pour la première fois.

Plus de 1.100 Casques bleus sont actuellement déployés au Golan, dans une zone démilitarisée située le long de la frontière entre Israël et la Syrie, à un moment tendu et dangereux de l'histoire de la région. Mais pourquoi les Casques bleus sont-ils là ?

Bien avant que les États-Unis ne s’engagent dans la Seconde Guerre mondiale en décembre 1941, des travailleurs humanitaires américains se sont rendus dans les territoires occupés par les puissances de l'Axe pour tenter d'aider les Juifs à s'échapper.

Plus qu’une heure, leur a promis le capitaine. Pourtant les heures défilent et les 500 passagers clandestins du bateau délabré ne distinguent toujours pas la côte italienne à l’horizon. 

« Nous avons vu des cadavres éparpillés à gauche et à droite, en train de se décomposer au soleil », raconte Jonathan Dumont, responsable de la communication d'urgence au Programme alimentaire mondial (PAM).

Encore tout récemment, les enfants réfugiés et migrants vénézuéliens à Trinité-et-Tobago n'avaient pas accès aux écoles publiques. Cette année, une modification de la loi soutenue par les Nations Unies a permis à plusieurs dizaines d'entre eux de bénéficier d'une éducation formelle.