Le pouvoir de l’IA s’accompagne d’immenses responsabilités. Aujourd’hui, ce pouvoir est entre les mains d’une minorité. Certaines entreprises et certains pays se lancent à corps perdu dans des investissements records, mais la plupart des pays en développement sont laissés pour compte. Cette concentration croissante des capacités de l’IA risque d’accentuer les clivages géopolitiques. Nous devons empêcher l’émergence d’un monde de nantis et de démunis face à l’IA. L’IA doit combler le fossé entre les pays développés et les pays en développement – et non le creuser. Avançons ensemble sur la voie d’une IA façonnée par et pour l’humanité tout entière. — ANTÓNIO GUTERRES
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, prend la parole lors du Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle à Paris, en France. Nations Unies/Marie Etchegoyen
« Nous devons soutenir les organisations de femmes qui sont en première ligne de ce combat. Nous devons également investir dans des programmes visant à mettre fin à la violence à l’égard des femmes et à favoriser l’inclusion et le rôle de premier plan des femmes dans l’économie, les technologies numériques, la consolidation de la paix et l’action climatique », souligne le Secrétaire général dans son message publié à l'occasion de la Journée internationale des femmes.
