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DOUBLE SIGNE

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CHAPITRE III.

DU DOUBLE SIGNE DES RADICAUX DU SECOND DEGRÉ.

10. Soient aOG, p=GC labscisse et lordonnée du centre dun cercle (fig. 14) et#=0P, y=PM labscisse et lordonnée dun point quelconque de la circonférence. Abais-sons CS perpendiculaire sur PM. On aura

CM=CS-|-SM

mais CS=GP=GOP=a-)-#

SM = SPM= p+yet si lon pose CM=r, on aura

r s = ( a + ï) ! -K-p + yf d(y-$y=r*-( æ*y

yP ±L V r 2 (a; a) s

Le radical est égal à V CM* CS 2 = SM abstraction faite du signe. Si lon supposeSM positive comme dans la figure, on aura

4- y r % [xa)* =SM et Vr i (x a) 2 =Sf*.

Les deux valeurs de y données par la formule ci-dessus sont donc

y = PSM = PMy = PSjt = Pfi.

Lorsque le centre est sur laxe des abscisses (fig. 15) on a (3= o et

y ±V r~ (®a) 2 ,

Enfin si le centre est à lorigine, on a a= o, po et

y = ±: Vr* a;*. (fig. 16).

11. Carnot, dans sa Géométrie de position ( Dissertation préliminaire), faisait cetteobjection : Comme Pfi = PM (fig. 16), on a p.P -f- PM = o ou (*M = o , résultatabsurde. (Je remplace les lettres employées par Carnot par celles de ma figure).

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