À Villers-Saint-Paul, au bord de l’Oise, la chimie a laissé son empreinte partout : dans le paysage, l’environnement, les corps et les esprits. En ce jour ensoleillé de juin, sur la plaine picarde, seuls les bâtiments rouillés de la plateforme chimique égratignent l’horizon.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte