Reportage

Polluants éternels : dans l’Oise, l’héritage toxique de l’industrie chimique

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Le site de Chemours à Villers-Saint-Paul (Oise), en 2023.
Le site de Chemours à Villers-Saint-Paul (Oise), en 2023. Hervé Sénamaud / LE PARISIEN/MAXPPP
Dans l’Oise, la fermeture de l’usine Chemours illustre à nouveau le déclin d’une industrie chimique jadis source de fierté et de prospérité. Entre emplois en danger et contamination aux « polluants éternels », ou PFAS, le bassin creillois panse les blessures invisibles de la chimie.

À Villers-Saint-Paul, au bord de l’Oise, la chimie a laissé son empreinte partout : dans le paysage, l’environnement, les corps et les esprits. En ce jour ensoleillé de juin, sur la plaine picarde, seuls les bâtiments rouillés de la plateforme chimique égratignent l’horizon.

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