Le voilà qui s’apprête à reprendre les commandes du pays, poussé par un vent qui rappelle étrangement celui qui avait soufflé la première fois. Andrej Babis, que les médias nationaux appelaient déjà « Trump tchèque » en 2017 alors qu’il s’apprêtait à devenir premier ministre, a de nouveau fait campagne dans l’esprit de son grand modèle américain, à l’occasion des élections législatives du samedi 4 octobre. Avec réussite, puisqu’il est arrivé en tête, en s’adjugeant 34,51 % des voix, quand les sondages lui donnaient 26 %. « C’est l’apogée de ma carrière politique », s’est écrié l’homme d’affaires de 71 ans.
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