Sous les guirlandes du Rosa Bonheur, les doigts collent à la pâte et l’huile grésille dans les poêles. Sur les grandes tables du bar perché des Buttes-Chaumont, les jeunes se penchent, concentrés, autour de planches en bois et de bols en plastique. Ils ne se connaissent pas, ou à peine. Mais depuis qu’ils ont noué un tablier, les silences se font rares.
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